Longtemps inaccessible, faute de piste d’aviation, Rimatara conserve toute son authenticité.
A 600 kilomètres de Tahiti, l’île la plus occidentale de l’archipel des Australes vit de l’agriculture et s’ouvre très timidement au tourisme.
De forme circulaire et ceinte d’une route de 9 kilomètres, l’île accueille moins de cent touristes par an.
Elle vit au rythme de l’agriculture et exporte vers Tahiti ses productions de taro, de coprah, de noni et de pommes de terre. L’une de ses richesses réside dans le savoir faire de ses artisans, passés maître dans l’art du tressage.
De forme circulaire et ceinte d’une route de 9 kilomètres, l’île accueille moins de cent touristes par an.
Elle vit au rythme de l’agriculture et exporte vers Tahiti ses productions de taro, de coprah, de noni et de pommes de terre. L’une de ses richesses réside dans le savoir faire de ses artisans, passés maître dans l’art du tressage.
Rimatara la méconnue