Pour comprendre l’agriculture biologique et former des personnes sans emplois notamment, Jean-Baptiste Tavanae, un agriculteur certifié bio, transmet ses connaissances et propose, à Teva i uta, une formation en agriculture biologique.
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Savez-vous planter les taros à la mode bio ?
Pour comprendre l’agriculture biologique et former des personnes sans emplois notamment, Jean-Baptiste Tavanae, un agriculteur certifié bio, transmet ses connaissances et propose, à Teva i uta, une formation en agriculture biologique.
Une nécessité en cette période post-covid, selon Jean-Baptiste Tavanae : "Il y a vraiment un débouché dans le bio. Il n'y a vraiment pas assez de produits locaux. En bio, l'année dernière, c'était davantage de l'importation. Donc, on va essayer de développer des projets pour pouvoir répondre à la demande des produits locaux."
En effet, seul 1% des terres cultivées en Polynésie est exploité pour la culture biologique.
Il encadre actuellement 17 stagiaires et 12 porteurs de projets, pour comprendre l’agriculture biologique et retourner à la terre. "J'apprends les techniques de préparation du sol, la connaissance des variétés adaptées au climat et aussi la commercialisation des produits." Jean-Baptiste Tavanae travaille sur un terrain privé, mais espère qu’une surface communale sera mise à disposition pour ses formations.
Pour comprendre l’agriculture biologique et former des personnes sans emplois notamment, Jean-Baptiste Tavanae, un agriculteur certifié bio, transmet ses connaissances et propose, à Teva i uta, une formation en agriculture biologique.
"Il y a vraiment un débouché dans le bio." - Jean-Baptiste Tavanae, agriculteur bio
Une nécessité en cette période post-covid, selon Jean-Baptiste Tavanae : "Il y a vraiment un débouché dans le bio. Il n'y a vraiment pas assez de produits locaux. En bio, l'année dernière, c'était davantage de l'importation. Donc, on va essayer de développer des projets pour pouvoir répondre à la demande des produits locaux."
En effet, seul 1% des terres cultivées en Polynésie est exploité pour la culture biologique.
Il encadre actuellement 17 stagiaires et 12 porteurs de projets, pour comprendre l’agriculture biologique et retourner à la terre. "J'apprends les techniques de préparation du sol, la connaissance des variétés adaptées au climat et aussi la commercialisation des produits." Jean-Baptiste Tavanae travaille sur un terrain privé, mais espère qu’une surface communale sera mise à disposition pour ses formations.