En ce jour d'élection, les mesures de sécurité anti - Covid ont bien été respectées. Les grands électeurs ont pu voter dans des conditions optimales de sécurité. Ce qui a rassuré les maires des îles exemptes du virus.
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Chaque électeur est reçu avec des consignes gentiment dites mais très claires. Partout, le port du masque est obligatoire et le chemin pour se rendre dans les quatre bureaux de vote est précis avec un sens de circulation pour éviter les croisements. Une ambiance pas vraiment compatible avec celle d'habitude lors des scrutins.
Mais les édiles des communes épargnées par le virus estiment qu'il s'agit de contraintes utiles permettant de protéger leur population. "On est obligé", confie Octave Riaria, adjoint au maire de Rapa. Pour Julien Mai, maire de Makatea, c'est nécessité.
Le haut-commissariat n'a rien laissé au hasard. "C'est nécessaire car on ne maîtrise pas le flux. Les grands électeurs viennent entre 8h30 et 11h, le temps pour voter est quand même assez court, ce qui fait que les 728 électeurs se retrouvent à peu près tous en même temps dans les lieux", explique Maddji Vaccaro, directrice de la réglementation au haut-commissariat.
Mais les édiles des communes épargnées par le virus estiment qu'il s'agit de contraintes utiles permettant de protéger leur population. "On est obligé", confie Octave Riaria, adjoint au maire de Rapa. Pour Julien Mai, maire de Makatea, c'est nécessité.
Le haut-commissariat n'a rien laissé au hasard. "C'est nécessaire car on ne maîtrise pas le flux. Les grands électeurs viennent entre 8h30 et 11h, le temps pour voter est quand même assez court, ce qui fait que les 728 électeurs se retrouvent à peu près tous en même temps dans les lieux", explique Maddji Vaccaro, directrice de la réglementation au haut-commissariat.
Sénatoriales : un scrutin sous surveillance sanitaire