Direction Tahaa, pour voir comment survivent actuellemment les trois fermes perlières de l'île.
Deux greffeurs polynésiens tentent de remplacer les greffeurs chinois qui ne sont jamais revenus de vacances depuis un an. La faute à la Covid. On nettoie, on s'occupe, mais les deux greffeurs polynésiens embauchés pour remplacer les greffeurs Chinois partis il y a un an ne peuvent assurer le même rythme qu'auparavant.
L'objectif est de retrouver notre quota de nacres greffées que nous avions atteint avant l'arrivée de l'épidémie de la Covid-19, confie Alfred Martin, gérant d'une ferme perlière à Taha'a
Les chiffres de la production s'effondrent. Les propriétaires de ces fermes espèrent que l'année 2021 sera meilleure que celle qui vient de s'écouler.
Le reportage de Punua Toti, Inatio Raveino, Hitimana Qui et Ohatini Teihotaata :