La ville de Biarritz candidate comme quatre autres sites pour les épreuves de surf aux Jeux olympiques de Paris-2024, s'est émue de "contre-vérités" et d'un "choix qui semble déjà établi", après des articles de presse suggérant que Tahiti est favori, en amont d'une décision du Comité d'organisation.
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"Depuis quelques jours, les porteurs du dossier de candidature de la ville s'étonnent de lire dans la presse que la décision du Comité d'organisation des Jeux Olympiques (COJO) est déjà prise, et que le Conseil d'administration la validerait la semaine prochaine", écrit la ville dans un communiqué vendredi.
Selon différentes sources, Tahiti ferait figure de favori, devant Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), Lacanau (Gironde), Hossegor-Seignosse-Capbreton (Landes) et La Torche (Finistère), notamment car la certitude d'avoir des vagues en août y est plus grande, et parce que l'Etat verrait d'un bon oeil l'organisation d'une épreuve en outremer.
"Je suis surpris, depuis quelques jours, de voir l'agenda de prise de décision s'accélérer (...) et de lire quelques contre-vérités qui justifient un choix qui semble déjà établi", a déclaré l'adjoint au maire en charge du Surf Laurent Ortiz. "Annoncer un seuil de probabilité de 25% de vagues en métropole à cette période de l'année semble totalement invraisemblable".
Parmi les forces de la candidature Tahiti figure, outre sa vague mythique Teahupoo, la houle du sud, idéale en juillet et en août, sur les côtes sud et ouest. Selon le ministère des Sports de cette collectivité autonome d'outre-mer, la probabilité de vagues à cette période y est de "100%".
Biarritz, "berceau du surf en Europe", rappelle M. Ortiz, est un spot "mondialement reconnu". La ville rappelle "deux atouts essentiels: la compacité d'un site existant, internationalement reconnu, et un très faible impact, tant environnemental que financier". Et un site en train ou avion, "très proche des lieux névralgiques des Jeux et de Paris".
Une réunion du Conseil d'administration de Paris-2024 est prévue le 12 décembre, mais le patron du Cojo Tony Estanguet a estimé que le CA "n'est pas obligé de prendre une décision" alors.
Selon différentes sources, Tahiti ferait figure de favori, devant Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), Lacanau (Gironde), Hossegor-Seignosse-Capbreton (Landes) et La Torche (Finistère), notamment car la certitude d'avoir des vagues en août y est plus grande, et parce que l'Etat verrait d'un bon oeil l'organisation d'une épreuve en outremer.
"Je suis surpris, depuis quelques jours, de voir l'agenda de prise de décision s'accélérer (...) et de lire quelques contre-vérités qui justifient un choix qui semble déjà établi", a déclaré l'adjoint au maire en charge du Surf Laurent Ortiz. "Annoncer un seuil de probabilité de 25% de vagues en métropole à cette période de l'année semble totalement invraisemblable".
Parmi les forces de la candidature Tahiti figure, outre sa vague mythique Teahupoo, la houle du sud, idéale en juillet et en août, sur les côtes sud et ouest. Selon le ministère des Sports de cette collectivité autonome d'outre-mer, la probabilité de vagues à cette période y est de "100%".
Biarritz, "berceau du surf en Europe", rappelle M. Ortiz, est un spot "mondialement reconnu". La ville rappelle "deux atouts essentiels: la compacité d'un site existant, internationalement reconnu, et un très faible impact, tant environnemental que financier". Et un site en train ou avion, "très proche des lieux névralgiques des Jeux et de Paris".
Une réunion du Conseil d'administration de Paris-2024 est prévue le 12 décembre, mais le patron du Cojo Tony Estanguet a estimé que le CA "n'est pas obligé de prendre une décision" alors.