Plusieurs députés ultramarins, dont Maina Sage, sont intervenus lors des auditions de ce lundi à l’Assemblée nationale, concernant les violences commises par un collaborateur du président Macron lors des violentes manifestations du 1er mai dernier à Paris.
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Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, était auditionné, ce lundi, par la commission des lois de l’Assemblée nationale à Paris. Le but : déterminer si le ministre a une part de responsabilité dans l’affaire Benalla.
La députée polynésienne Maina Sage était présente lors de l’audition. À l’issue des deux heures d’entretien, elle s’est montrée étonnée par la méconnaissance du ministre de l’Intérieur vis-à-vis du dossier Benalla.
Après le ministre de l’Intérieur, c’était au tour du préfet de police de Paris d’être entendu. Il a jugé que des « dérives individuelles inacceptables, condamnables, sur fond de copinages malsains » étaient à l'origine de l'affaire.
Maina Sage a demandé au préfet, Michel Delpuech, s’il avait vu toutes les vidéos de l’incident, ce qu’il pensait de la sanction prise par l’Élysée contre Alexandre Benalla, dont elle s’est aussi interrogée sur les motivations.
La députée polynésienne Maina Sage était présente lors de l’audition. À l’issue des deux heures d’entretien, elle s’est montrée étonnée par la méconnaissance du ministre de l’Intérieur vis-à-vis du dossier Benalla.
« On sent un manque de suivi »
Après le ministre de l’Intérieur, c’était au tour du préfet de police de Paris d’être entendu. Il a jugé que des « dérives individuelles inacceptables, condamnables, sur fond de copinages malsains » étaient à l'origine de l'affaire.
Maina Sage a demandé au préfet, Michel Delpuech, s’il avait vu toutes les vidéos de l’incident, ce qu’il pensait de la sanction prise par l’Élysée contre Alexandre Benalla, dont elle s’est aussi interrogée sur les motivations.
Échange entre Maina Sage et le préfet de police de Paris