Sandy, 34 ans, fils de Stanley Ellacott, le Président de la FEPSM (Fédération d'entraide polynésienne de secours en mer) est actuellement hospitalisé au Taaone dans un "état très grave" après avoir été victime d'une agression, dans la nuit de dimanche à lundi.
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Selon une source proche de l'enquête, "il s'agit d'un accrochage entre lui et deux voire plusieurs individus. Des coups de poings et de pieds ont été échangés, mais pas d'arme blanche. Les agresseurs ont volé le véhicule pour prendre la fuite, le laissant à terre".
Stanley Ellacott, sous le coup de l'émotion, raconte: "son diagnostic ne tient qu'à un fil. Il est en bloc opératoire depuis une heure (NDLR: interview datée de midi, heure de Papeete); pour hémorragie interne au niveau de l'abdomen. Selon les neurochirurgiens, sa boîte crânienne a été défoncée, à minima il finira comme un légume. Il a été placé dans un coma artificiel" affirme-t-il en précisant qu'il va "envoyer une photo de Sandy dans l'état dans lequel il est, afin que cet acte ne soit pas gratuit".
La version du Président la FEPSM est sensiblement différente de celle des enquêteurs qui n'ont pour l'instant retrouvé que 3 des 6 agresseurs, dont une femme, à l'origine du drame: "il y a eu une première altercation. Les autres l'ont poursuivi, devant la maison, et ils lui sont tombés dessus à 6. La femme a parlé du véhicule, qui lui aurait roulé dessus".
Agression fils Ellacott
Stanley Ellacott, sous le coup de l'émotion, raconte: "son diagnostic ne tient qu'à un fil. Il est en bloc opératoire depuis une heure (NDLR: interview datée de midi, heure de Papeete); pour hémorragie interne au niveau de l'abdomen. Selon les neurochirurgiens, sa boîte crânienne a été défoncée, à minima il finira comme un légume. Il a été placé dans un coma artificiel" affirme-t-il en précisant qu'il va "envoyer une photo de Sandy dans l'état dans lequel il est, afin que cet acte ne soit pas gratuit".
La version du Président la FEPSM est sensiblement différente de celle des enquêteurs qui n'ont pour l'instant retrouvé que 3 des 6 agresseurs, dont une femme, à l'origine du drame: "il y a eu une première altercation. Les autres l'ont poursuivi, devant la maison, et ils lui sont tombés dessus à 6. La femme a parlé du véhicule, qui lui aurait roulé dessus".