Mardi 24 janvier, au tribunal correctionnel, était jugée une affaire de moeurs concernant un homme déjà condamné à de la prison pour une agression sexuelle en 2006. Cette fois, il est devant la justice pour avoir incendié la maison de son beau-frère à Raivavae.
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Dans le box des accusés, un détenu bien connu de la justice pour n’être autre que l’un des agresseurs de la petite Akirina. Cette jeune fille est décédée en 2006, à Faa'a, pendant un viol collectif incriminant pas moins de onze personnes.
Gabarit imposant, crâne rasé, regard hagard... Douze ans après ce sordide faits divers qui avait coûté la vie à la jeune fille et ému le fenua, l’homme n'a pas beaucoup changé. Aujourd’hui il se retrouve une nouvelle fois devant la cour. Cette fois-ci, il est jugé pour avoir incendié la maison de son beau frère à Raivavae, aux Australes.
Le détenu explique que son geste est guidé par des voix qu’il entend dans sa tête. Atteint de schizophrénie paranoïaque, l’homme a été placé depuis sous tutelle. En retournant dans son île natale, Raivavae, l’homme a arrêté de prendre son traitement. Ce qui aurait aggravé son état. Une explication qui ne convainc pas le procureur.
Quant à l'expertise psychiatrique, elle mentionne juste une altération des ses capacités mentales. En clair, le suspect demeure punissable face à la loi. L’homme, qui est en récidive légale, a été condamné à deux ans de prison ferme.
Gabarit imposant, crâne rasé, regard hagard... Douze ans après ce sordide faits divers qui avait coûté la vie à la jeune fille et ému le fenua, l’homme n'a pas beaucoup changé. Aujourd’hui il se retrouve une nouvelle fois devant la cour. Cette fois-ci, il est jugé pour avoir incendié la maison de son beau frère à Raivavae, aux Australes.
Deux ans de prison
Le détenu explique que son geste est guidé par des voix qu’il entend dans sa tête. Atteint de schizophrénie paranoïaque, l’homme a été placé depuis sous tutelle. En retournant dans son île natale, Raivavae, l’homme a arrêté de prendre son traitement. Ce qui aurait aggravé son état. Une explication qui ne convainc pas le procureur.
Quant à l'expertise psychiatrique, elle mentionne juste une altération des ses capacités mentales. En clair, le suspect demeure punissable face à la loi. L’homme, qui est en récidive légale, a été condamné à deux ans de prison ferme.