La notion de co construction a dominé l’intervention télévisée d’Annick Girardin. Co construction Etat / pays, communes / gouvernance locale ou encore public / privé. Il a également tour à tour été question du nucléaire, des accords de l’Elysée, de compétences statutaires.
Après s’être tour à tour rendue dans des quartiers difficiles de Tahiti puis dans les îles éloignées des Marquises et des Tuamotu, Annick Girardin mesure l’absence ou la vétusté de certaines infrastructures.
Soulignant que la loi sur l’égalité réelle a une vocation de rééquilibrage, la ministre estime que « tout l’outre mer français a un énorme retard ». « Il manque la moitié des abris cycloniques » dans les îles des Tuamotu a-t-elle par exemple indiqué.
Concernant les accords de l’Elysée, Annick Girardin souhaite qu’un point d’étape soit fait en mars prochain.
Sur la question des modifications statutaires et des relations communes / pays, la ministre indique que « le gouvernement tient à l’unité de la Polynésie française » cependant, chaque archipel peut avoir ses différences et « il faut que le pays et les archipels co construisent cette différenciation » estime t’elle.
A propos des élections territoriales, la ministre a indiqué que les membres du gouvernement n’ont vocation à soutenir aucun candidat mais elle a toutefois salué les bonnes relations entre l’Etat et le pays ainsi que le travail effectué par Edouard Fritch, qui, sur de nombreux dossiers, « a su prendre ses responsabilités ».
Sur la question du nucléaire et de l’indemnisation des victimes, Annick Girardin a rappelé que le CIVEN avait été réactivé et que le comité présidant l’installation de l’institut d’archives et de documentations avait été installé. Elle déplore toutefois le peu de dossiers d’indemnisation traités par le passé : « ça a été trop lent, il faut que le CIVEN aille beaucoup plus vite et puisse indemniser les victimes et les ayant droits ».
A propos des documents concernant les maladies potentiellement liées à des retombés radio actives publiées en fin de semaine dernière, la ministre déclare : « c’est un sujet grave et douloureux, je regrette qu’un certain nombre de personnes aime mettre le feu parce qu’il y a une visite ministérielle » avant d’ajouter : « si il faut une étude génétique, nous pouvons aller vers une étude génétique ».
Soulignant que la loi sur l’égalité réelle a une vocation de rééquilibrage, la ministre estime que « tout l’outre mer français a un énorme retard ». « Il manque la moitié des abris cycloniques » dans les îles des Tuamotu a-t-elle par exemple indiqué.
Concernant les accords de l’Elysée, Annick Girardin souhaite qu’un point d’étape soit fait en mars prochain.
Sur la question des modifications statutaires et des relations communes / pays, la ministre indique que « le gouvernement tient à l’unité de la Polynésie française » cependant, chaque archipel peut avoir ses différences et « il faut que le pays et les archipels co construisent cette différenciation » estime t’elle.
A propos des élections territoriales, la ministre a indiqué que les membres du gouvernement n’ont vocation à soutenir aucun candidat mais elle a toutefois salué les bonnes relations entre l’Etat et le pays ainsi que le travail effectué par Edouard Fritch, qui, sur de nombreux dossiers, « a su prendre ses responsabilités ».
« le nucléaire, un sujet grave et douloureux »
Sur la question du nucléaire et de l’indemnisation des victimes, Annick Girardin a rappelé que le CIVEN avait été réactivé et que le comité présidant l’installation de l’institut d’archives et de documentations avait été installé. Elle déplore toutefois le peu de dossiers d’indemnisation traités par le passé : « ça a été trop lent, il faut que le CIVEN aille beaucoup plus vite et puisse indemniser les victimes et les ayant droits ».
A propos des documents concernant les maladies potentiellement liées à des retombés radio actives publiées en fin de semaine dernière, la ministre déclare : « c’est un sujet grave et douloureux, je regrette qu’un certain nombre de personnes aime mettre le feu parce qu’il y a une visite ministérielle » avant d’ajouter : « si il faut une étude génétique, nous pouvons aller vers une étude génétique ».
Annick Girardin dresse le bilan de sa visite