Les pêcheurs en haute mer ne sont pas contraints par le confinement. Ils sont cependant nombreux à remarquer un changement de comportement des consommateurs. Exemple de la marina d'Arue.
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Les pêcheurs d'Arue ne sont pas épargnés par la covid. Sur huit pêcheurs professionnels que compte la coopérative, seulement deux sont en activité.
En plus de la maladie, ils font aussi face au manque de poisson. Mahi mahi, bonites, thons et espadons se font rare dans nos eux en cette période de l’année. Le confinement et l’explosion des cas dûs au variant poussent également les consommateurs à changer leurs habitudes.
Cependant, malgré ces complications, le prix du poisson reste plutôt stable : environ 1 250 francs le kilo de Mahi mahi et 700 francs le kilo de thon.
Un reportage radio de Miri Tumatariri