Stationnement plage Lafayette à Arue : l'incivilité des conducteurs au grand jour

Certains habitants d'Arue en ont assez de l’incivilité des conducteurs qui se garent n’importe comment sur le parking qui longe la plage Lafayette par beau temps. Et pas seulement sur ce parking-là. La commune a réagi et le fait savoir sur sa page Facebook.

« On comprend que les parkings de la plage Maivai, par grand soleil, affichent vite complet. Mais trop d’automobilistes choisissent la solution de facilité et se garent sur les trottoirs. Outre que ce soit interdit, ils poussent les personnes à mobilité réduite, les piétons et les coureurs à se mettre en danger en passant sur une route où la circulation est importante et souvent rapide…

 

On ne saurait trop souligner la responsabilité des automobilistes mal garés en cas d’accident. Elle est clairement engagée et peut donner droit à des dédommagements proportionnels à la gravité des blessures.

 

Nous invitons donc ces automobilistes au respect et à choisir une place plus appropriée pour se garer sans engager la sécurité publique. On peut marcher quelques centaines de mètres jusqu’à la plage. Ce n’est pas un exercice exténuant et des dizaines de familles et d’enfants le font régulièrement depuis la vallée de Tefaaroa…

 

On peut regretter aussi que les places réservées aux perosnnes handicapées commencent à être occupées par des valides au prétexte que tous les autres parkings sont pris ou que l’on ne va pas rester longtemps…

Si tu prends ma place, prends mon handicap.

 

Malheureusement, le mauvais exemple non sanctionné entraîne une corruption des esprits et ces incivilités commencent à se répéter, voire à devenir commun.

Pour finir sur le sujet, il nous a été rapporté à plusieurs reprises des cyclistes qui empruntent la voie piétonne de la montée du Tahara’a.

Or, le site est très fréquenté en fin d’après-midi par les marcheurs et les coureurs, qui sont gênés dans leur exercice. L’ancien président de l’Athletic club Excelsior de Arue, Fernand Chavez, a même failli se faire percuter par un jeune à vélo qui descendait sur cette voie !"

 

Parfoi, les policiers municipaux sont obligés de sévir, quand les avertissements ne suffisent plus :