Attentat de Nice : des étudiants polynésiens témoignent

Toriki Urarii est président de l'AEPF de Nice.
Après l'attentat au camion, les réactions se multiplient. Notamment celles d'étudiants polynésiens vivant à Nice ou de passage dans cette ville. Ecoutez leurs témoignages.


Temarii Castellani est un jeune diplômé (CAPES) de 26 ans. En vacances à Nice, il dînait, avec des amis, dans un restaurant à quelques dizaines de mètres de la Promenade des Anglais, hier soir. Il est au micro de Sébastien Letard envoyé spécial à Nice :

Attentat de Nice : des étudiants polynésiens témoignent


Toriki Urarri, le président de l'AEPF de Nice (Association des étudiants de Polynésie française) est encore sous le choc. L'un de ses amis lui a proposé de sortir hier soir au moment des événements, il dit avoir échapper au pire. Il le raconte à Hugo Lanoë :

Attentat de Nice : des étudiants polynésiens témoignent


Le numéro d'urgence pour les familles qui souhaitent avoir des nouvelles de leurs proches : (00 33 ) 493 72 22 22.
Mise en berne des drapeaux sur les édifices publics
Suite à l’attentat survenu à Nice, hier, le haut-commissaire de la République a demandé que les drapeaux soient mis en berne, sur les édifices publics en Polynésie française, comme c’est le cas sur l’ensemble du territoire national, à compter de ce jour, jusqu’au 18 juillet 2016.