Le renforcement de la sécurité après les attentats qui ont frappé la Belgique a été décidé non seulement dans l'Hexagone mais aussi dans les outre-mer. En Polynésie, le Haut-commissaire Lionel Beffre a déjà mis en application des mesures de sûreté, notamment dans les ports et aéroports.
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Le renforcement de la sécurité après les attentats qui ont frappé la Belgique a été décidé non seulement dans l'Hexagone mais aussi dans les outre-mer. Les préfets et Hauts-commissaires ont reçu des instructions en ce sens de la part du ministère de l'Intérieur.
En Polynésie, les patrouilles vont être renforcées dans les ports et aéroports. D'autres mesures sont appliquées dans des lieux sensibles du Pays.
La Polynésie ne s'inscrit toutefois pas dans le plan d'urgence.
Les outre-mer sont concernés au même titre que l'ensemble des autres territoires français, a-t-on précisé au ministère, expliquant que tous les préfets et Hauts-commissaires avaient reçu des instructions et mesures conservatoires du ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve.
En Guadeloupe, le préfet Jacques Billant, qui présentait mardi une nouvelle campagne "Déposons les armes" pour lutter contre les problèmes de violence dans l'île, a lui-même annoncé le renforcement de la sécurité dans les ports et les aéroports et l'intensification des contrôles aux frontières.
"Les contrôles aux points d'entrée et de sortie du territoire sont consolidés, tant sur les personnes que sur les marchandises. La surveillance est intensifiée à proximité des lieux stratégiques et aux abords des points sensibles", a ajouté un communiqué de la préfecture.
A La Réunion, la préfecture a également précisé dans un communiqué que les patrouilles et les contrôles, terrestres et maritimes, étaient renforcés, "particulièrement aux aéroports, au port et dans les gares routières".
"Les forces armées complètent toujours le dispositif de surveillance aéroportuaire. Une attention particulière est portée sur les contrôles de bagages et d'identités", a-t-on indiqué de même source.
En novembre, après les attentats de Paris et de Saint-Denis, l'état d'urgence avait été décrété dans l'Hexagone dans la nuit suivant les événements, mais il n'avait été étendu aux Outre-mer que le 19 novembre.
En Polynésie, les patrouilles vont être renforcées dans les ports et aéroports. D'autres mesures sont appliquées dans des lieux sensibles du Pays.
La Polynésie ne s'inscrit toutefois pas dans le plan d'urgence.
Les outre-mer sont concernés au même titre que l'ensemble des autres territoires français, a-t-on précisé au ministère, expliquant que tous les préfets et Hauts-commissaires avaient reçu des instructions et mesures conservatoires du ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve.
En Guadeloupe, le préfet Jacques Billant, qui présentait mardi une nouvelle campagne "Déposons les armes" pour lutter contre les problèmes de violence dans l'île, a lui-même annoncé le renforcement de la sécurité dans les ports et les aéroports et l'intensification des contrôles aux frontières.
"Les contrôles aux points d'entrée et de sortie du territoire sont consolidés, tant sur les personnes que sur les marchandises. La surveillance est intensifiée à proximité des lieux stratégiques et aux abords des points sensibles", a ajouté un communiqué de la préfecture.
A La Réunion, la préfecture a également précisé dans un communiqué que les patrouilles et les contrôles, terrestres et maritimes, étaient renforcés, "particulièrement aux aéroports, au port et dans les gares routières".
"Les forces armées complètent toujours le dispositif de surveillance aéroportuaire. Une attention particulière est portée sur les contrôles de bagages et d'identités", a-t-on indiqué de même source.
En novembre, après les attentats de Paris et de Saint-Denis, l'état d'urgence avait été décrété dans l'Hexagone dans la nuit suivant les événements, mais il n'avait été étendu aux Outre-mer que le 19 novembre.