Dans le cadre de la politique de formation de ses cadres, la fédération de boxe anglaise a démarré sa session de formation du Prêvot du premier cycle afin de développer les compétences des entraîneurs. L'objectif est aussi de veiller à la sécurité de leurs athlètes.
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La formation fédérale du Prêvot a été enclenchée cette semaine par la fédération de boxe anglaise présidée par D'esli Grand Pittman. L'objectif : former en deux ans des cadres techniques autonomes et efficaces pour l'encadrement des boxeurs et leur sécurité en club et surtout sur le ring.
Pour cette première session, vingt élèves au total pour des cours pratique et théorique. "C'est difficile car certains ont des difficultés avec la langue de Molière (...) Derrière chaque mot, il y a une action mais on se concentre sur la mise en application de l'action", explique Henere Tahiata, cadre technique et formateur de la fédération de boxe anglaise. En pratique, chaque candidat doit montrer sa capacité à organiser une séance d'entraînement en fonction du niveau des athlètes. "Il faut voir d'abord dans quelles conditions physiques sont les gars (...) On doit s'adapter aux personnes", souligne D'esli Grand-Pittman, président de la fédération de boxe anglaise.
"Ils nous forment très bien", précise de son côté Hitirere Temarono, du Moorea Boxing Club. "C'est surtout difficile de parler aux élèves car j'ai pas l'habitude de parler aux gens", confie Gregorif Oldham du Tiatoa Boxe Papeete.
Reportage
Pour cette première session, vingt élèves au total pour des cours pratique et théorique. "C'est difficile car certains ont des difficultés avec la langue de Molière (...) Derrière chaque mot, il y a une action mais on se concentre sur la mise en application de l'action", explique Henere Tahiata, cadre technique et formateur de la fédération de boxe anglaise. En pratique, chaque candidat doit montrer sa capacité à organiser une séance d'entraînement en fonction du niveau des athlètes. "Il faut voir d'abord dans quelles conditions physiques sont les gars (...) On doit s'adapter aux personnes", souligne D'esli Grand-Pittman, président de la fédération de boxe anglaise.
"Ils nous forment très bien", précise de son côté Hitirere Temarono, du Moorea Boxing Club. "C'est surtout difficile de parler aux élèves car j'ai pas l'habitude de parler aux gens", confie Gregorif Oldham du Tiatoa Boxe Papeete.
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