Améliorer l'image de la Nouvelle-Calédonie est l'une des priorités des professionnels du tourisme. Mais à chaque manifestation promotionnelle comme le récent Top Resa à Paris, les touristes métropolitains potentiels semblent être refroidis par le coût du transport aérien.
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Malgré de nombreuses initiatives publiques ou privées et des atouts indiscutables, la Nouvelle-Calédonie connaît toujours une activité touristique plutôt marginale.
Contrairement à la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie trop longtemps concentrée sur l'exploitation du nickel et marquée historiquement par les Evénements politiques, souffre d'un réel déficit d'image.
Mais ce n'est pas le seul handicap de l'archipel, pour le touriste métropolitain s'ajoute une autre contrainte de taille: le prix du billet d'avion qui fait de la Nouvelle-Calédonie, comme la Polynésie, l'une des destinations les plus chères du monde...
Sans compter que sur place, le coût de la vie est 34% plus élevé que dans l'Hexagone.
Au Top Resa, le salon professionnel du tourisme et des voyages, organisé à Paris du 23 au 26 septembre, la Nouvelle-Calédonie qui disposait d'un stand a malgré tout tenté une nouvelle fois de promouvoir ses qualités touristiques.
Angela Palmieri
Contrairement à la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie trop longtemps concentrée sur l'exploitation du nickel et marquée historiquement par les Evénements politiques, souffre d'un réel déficit d'image.
Mais ce n'est pas le seul handicap de l'archipel, pour le touriste métropolitain s'ajoute une autre contrainte de taille: le prix du billet d'avion qui fait de la Nouvelle-Calédonie, comme la Polynésie, l'une des destinations les plus chères du monde...
Sans compter que sur place, le coût de la vie est 34% plus élevé que dans l'Hexagone.
Au Top Resa, le salon professionnel du tourisme et des voyages, organisé à Paris du 23 au 26 septembre, la Nouvelle-Calédonie qui disposait d'un stand a malgré tout tenté une nouvelle fois de promouvoir ses qualités touristiques.
Angela Palmieri