Dans un communiqué, le Haut-commissariat annonce que la défiscalisation nationale a été consentie à la société Réseau de Transport en Commun de Tahiti pour l’acquisition de soixante-trois bus. L'objectif est d’optimiser le recours au transport en commun sur l’île de Tahiti.
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Une nouvelle aide fiscale nationale a été accordée à la société Réseau de Transport en Commun de Tahiti (RTCT) pour l’acquisition de soixante-trois bus.
Cette première tranche d’acquisition s’inscrit dans un projet global d’achat de 240 bus.
L’objectif est d’optimiser le recours au transport en commun sur l’île de Tahiti en améliorant l’offre et la qualité du service et du réseau de transport, précise le Haut-commissariat dans un communiqué.
Ouvrir des lignes supplémentaires et remplacer les anciens bus
Ces bus permettront d’augmenter la fréquence des lignes de transport existantes, ainsi que d'ouvrir des lignes supplémentaires, vers l'université ou la zone portuaire de Papeete, mais aussi de remplacer les anciens bus par des véhicules neufs dotés de systèmes de géolocalisation et de caméras, pouvant accueillir des personnes à mobilité réduite (PMR), et de mettre en place des bus dédiés au transport scolaire.
Une partie de la flotte est constituée de bus 100% électriques.
Le coût de l’investissement agréé s’élève à 732,3 millions de francs sur un montant global d’investissement de 3,4 milliards de francs. La réduction d’impôt consentie se chiffre à 329,5 millions de francs.
Le programme d’investissement permettra, selon le Haut-commissariat, de maintenir environ 200 emplois directs et de créer 40 emplois de chauffeurs de bus.
Cette première tranche d’acquisition s’inscrit dans un projet global d’achat de 240 bus.
L’objectif est d’optimiser le recours au transport en commun sur l’île de Tahiti en améliorant l’offre et la qualité du service et du réseau de transport, précise le Haut-commissariat dans un communiqué.
Ouvrir des lignes supplémentaires et remplacer les anciens bus
Ces bus permettront d’augmenter la fréquence des lignes de transport existantes, ainsi que d'ouvrir des lignes supplémentaires, vers l'université ou la zone portuaire de Papeete, mais aussi de remplacer les anciens bus par des véhicules neufs dotés de systèmes de géolocalisation et de caméras, pouvant accueillir des personnes à mobilité réduite (PMR), et de mettre en place des bus dédiés au transport scolaire.
Une partie de la flotte est constituée de bus 100% électriques.
Le coût de l’investissement agréé s’élève à 732,3 millions de francs sur un montant global d’investissement de 3,4 milliards de francs. La réduction d’impôt consentie se chiffre à 329,5 millions de francs.
Le programme d’investissement permettra, selon le Haut-commissariat, de maintenir environ 200 emplois directs et de créer 40 emplois de chauffeurs de bus.