Le président de la Polynésie française est en visite officielle en Nouvelle-Zélande. À cette occasion, les deux gouvernements doivent signer un Plan conjoint de coopération portant sur la collaboration dans les secteurs notamment de l’agriculture, de la pêche et de la formation.
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Accompagné du ministre de l’Économie verte, Tearii Alpha, le président de la Polynésie française a rencontré trois ministres néo-zélandais, ce lundi, à Wellington.
Avec le ministre des Pêches, Stuart Nash, il a été question de renforcer la coopération dans ce domaine. Les deux voisins partagent « une vision commune d’un développement économique, responsable, équilibré, en faisant en sorte de protéger l’environnement et les ressources halieutiques. La Nouvelle-Zélande peut apporter beaucoup à la Polynésie dans ce secteur en termes de formation, mais aussi de recherche et développement, a souligné le ministre des Pêches, Stuart Nash », rapporte le communiqué de la présidence.
Édouard Fritch a ensuite rencontré le ministre de l’Agriculture, Damien O’Connor. La discussion a porté sur la biosécurité et la mise en place d’une agriculture biologique de qualité en vue de l’exportation.
Puis, le président de la Polynésie française s’est entretenu avec le ministre néo-zélandais en charge du développement régional, Shane Jones. « D’origine maorie, le ministre Shane Jones a également à cœur de renforcer les liens et les partenariats déjà existants entre la Polynésie française et la Nouvelle-Zélande », indique le communiqué, sans plus de précision sur ces liens.
Édouard Fritch doit désormais signer avec le Premier ministre néo-zélandais par intérim, Sir Winston Peters, un Plan conjoint de coopération. Dans ce document, les deux voisins devraient exprimer et expliciter leur volonté de « collaborer encore davantage dans les secteurs notamment de l’agriculture, de la pêche ou encore de la formation ».
Avec le ministre des Pêches, Stuart Nash, il a été question de renforcer la coopération dans ce domaine. Les deux voisins partagent « une vision commune d’un développement économique, responsable, équilibré, en faisant en sorte de protéger l’environnement et les ressources halieutiques. La Nouvelle-Zélande peut apporter beaucoup à la Polynésie dans ce secteur en termes de formation, mais aussi de recherche et développement, a souligné le ministre des Pêches, Stuart Nash », rapporte le communiqué de la présidence.
Édouard Fritch a ensuite rencontré le ministre de l’Agriculture, Damien O’Connor. La discussion a porté sur la biosécurité et la mise en place d’une agriculture biologique de qualité en vue de l’exportation.
Puis, le président de la Polynésie française s’est entretenu avec le ministre néo-zélandais en charge du développement régional, Shane Jones. « D’origine maorie, le ministre Shane Jones a également à cœur de renforcer les liens et les partenariats déjà existants entre la Polynésie française et la Nouvelle-Zélande », indique le communiqué, sans plus de précision sur ces liens.
Édouard Fritch doit désormais signer avec le Premier ministre néo-zélandais par intérim, Sir Winston Peters, un Plan conjoint de coopération. Dans ce document, les deux voisins devraient exprimer et expliciter leur volonté de « collaborer encore davantage dans les secteurs notamment de l’agriculture, de la pêche ou encore de la formation ».