Samedi 11 novembre, le Pape François a reçu au Vatican, à Rome, un groupe de leaders politiques des États et territoires du Pacifique concernés par le réchauffement climatique. Parmi eux : le président de la Polynésie française, Edouard Fritch.
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"C'est une journée extraordinaire", a confié le président de la Polynésie française. Après sa visite à l'Elysée et sa rencontre avec Emmnanuel Macron, Edouard Fritch s'est envolé pour Rome, en Italie.
Le président de la Polynésie française a rencontré samedi 11 novembre le pape François, et lui a offert à cette occasion des perles de Robert Wan. Cette rencontre s'est faite dans le cadre de la COP 23, qui se déroule actuellement à Bonn en Allemagne, sous la présidence des Fidji. L'objectif : discuter de l'environnement et, en particulier, du réchauffement climatique.
"C'est une journée importante pour la Polynésie, le Pape est très sensible au réchauffement climatique et à ces populations vulnérables", a expliqué Edouard Fritch.
D'autres pays affectés par le changement climatique étaient également représentés : l’Australie, les îles Cook, les États fédérés de Micronésie, Kiribati, Nauru, la Nouvelle-Zélande, la Papouasie Nouvelle-Guinée, les Iles Marshall, les Samoa et le Vanuatu.
Selon Radio Vatican, lors de cette réunion, il a été question notamment des problèmes liés à la sécurité alimentaire dans la région, au changement climatique, à la réduction des risques de catastrophe naturelle et aux moyens de subsistance résilients.
Dans son intervention, le Pape s’est attristé de la "dégradation environnementale qui frappe les territoires d’Océanie, souvent en raison d’une conduite humaine imprévoyante, liée à des formes d’exploitation des ressources naturelles et humaines dont l’impact va jusqu’au fond des océans". Lors de son discours, le Pape a rappelé "la nécessité d’une prise de conscience mondiale, d’une collaboration et d’une solidarité internationales, d’une stratégie partagée".
Il a également souligné qu’il n’est pas possible de "rester indifférent devant les problèmes graves comme la dégradation de l’environnement naturel et de la santé des océans, connexe à la dégradation humaine et sociale que vit l’humanité d’aujourd’hui".
Le président de la Polynésie française a rencontré samedi 11 novembre le pape François, et lui a offert à cette occasion des perles de Robert Wan. Cette rencontre s'est faite dans le cadre de la COP 23, qui se déroule actuellement à Bonn en Allemagne, sous la présidence des Fidji. L'objectif : discuter de l'environnement et, en particulier, du réchauffement climatique.
"C'est une journée importante pour la Polynésie, le Pape est très sensible au réchauffement climatique et à ces populations vulnérables", a expliqué Edouard Fritch.
Interview
D'autres pays affectés par le changement climatique étaient également représentés : l’Australie, les îles Cook, les États fédérés de Micronésie, Kiribati, Nauru, la Nouvelle-Zélande, la Papouasie Nouvelle-Guinée, les Iles Marshall, les Samoa et le Vanuatu.
Selon Radio Vatican, lors de cette réunion, il a été question notamment des problèmes liés à la sécurité alimentaire dans la région, au changement climatique, à la réduction des risques de catastrophe naturelle et aux moyens de subsistance résilients.
Nécessité d'une prise de conscience
Dans son intervention, le Pape s’est attristé de la "dégradation environnementale qui frappe les territoires d’Océanie, souvent en raison d’une conduite humaine imprévoyante, liée à des formes d’exploitation des ressources naturelles et humaines dont l’impact va jusqu’au fond des océans". Lors de son discours, le Pape a rappelé "la nécessité d’une prise de conscience mondiale, d’une collaboration et d’une solidarité internationales, d’une stratégie partagée".
Il a également souligné qu’il n’est pas possible de "rester indifférent devant les problèmes graves comme la dégradation de l’environnement naturel et de la santé des océans, connexe à la dégradation humaine et sociale que vit l’humanité d’aujourd’hui".