La gendarmerie a procédé à un contrôle ciblé des deux roues au cours de la nuit de vendredi à samedi dernier à Faa'a. Soixante engins ont été arrêtés et cinq d'entre eux immobilisés pour défaut de conformité.
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Après une vaste opérations anti-runs menée en fin d'année 2017, la compagnie des Îles du Vent a, une nouvelle fois, mis en place une opération similaire dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 février 2018.
Malgré une météo défavorable, une opération de contrôle de zone, mobilisant 30 militaires et 12 véhicules, a pu être menée dans la commune de Faa’a.
Durant deux heures, près de 60 deux roues motorisés ont été contrôlés en détail, cinq ont fait l’objet d’une mesure d’immobilisation car non-conforme/kité et/ou trop bruyants et deux alcoolémies ont été relevées.
Le chien de l’équipe cynophile spécialisé dans la recherche de produits stupéfiants a été engagé également, permettant de détecter la présence de petites quantités de "pakalolo".
Le lieutenant-colonel Frédéric Brachet, commandant le compagnie des Îles du Vent le réaffirme : "Nous ne lâchons rien. Tant que ces runs perdureront, nous saisirons des deux roues "kités". Il en va de la sécurité de nos jeunes adolescents, de celle des usagers de la route, mais il s'agit aussi d'une question d'ordre public : la route n'est pas un terrain de jeu ni une zone de non droit."
Malgré une météo défavorable, une opération de contrôle de zone, mobilisant 30 militaires et 12 véhicules, a pu être menée dans la commune de Faa’a.
Durant deux heures, près de 60 deux roues motorisés ont été contrôlés en détail, cinq ont fait l’objet d’une mesure d’immobilisation car non-conforme/kité et/ou trop bruyants et deux alcoolémies ont été relevées.
Le chien de l’équipe cynophile spécialisé dans la recherche de produits stupéfiants a été engagé également, permettant de détecter la présence de petites quantités de "pakalolo".
Le lieutenant-colonel Frédéric Brachet, commandant le compagnie des Îles du Vent le réaffirme : "Nous ne lâchons rien. Tant que ces runs perdureront, nous saisirons des deux roues "kités". Il en va de la sécurité de nos jeunes adolescents, de celle des usagers de la route, mais il s'agit aussi d'une question d'ordre public : la route n'est pas un terrain de jeu ni une zone de non droit."