La voie est constellée de nids de poules. Les fortes pluies de ces dernières semaines ont accentué les dégâts.
Certaines routes de Polynésie n’ont rien à envier aux pistes défoncées des pays du quart monde. C’est le cas de la route des maraichers à Pamatai, mise à mal par le passage répété des camions de chantier de Pamatai hill, et, pire encore, de celle de Heiri sur les hauteurs de Faa’a. La voie est constellée de nids de poules qui ne cessent de se creuser années après années.
Cette route contraint les automobilistes à circuler au pas afin de ne pas détériorer leurs voitures et les oblige à zigzaguer dangereusement pour éviter les ornières les plus profondes. La saison des pluies n’arrange rien et par endroit le revêtement n’est plus qu’un vague souvenir.
Les automobilistes et les riverains ne savent plus à quel saint se vouer, ils payent les dissensions entre la commune et le pays dans un dossier vieux de 13 ans.
Cette route contraint les automobilistes à circuler au pas afin de ne pas détériorer leurs voitures et les oblige à zigzaguer dangereusement pour éviter les ornières les plus profondes. La saison des pluies n’arrange rien et par endroit le revêtement n’est plus qu’un vague souvenir.
Les automobilistes et les riverains ne savent plus à quel saint se vouer, ils payent les dissensions entre la commune et le pays dans un dossier vieux de 13 ans.
Heiri : la route de la honte
Heiri : la route de la honte