À Faa’a, certains riverains n’en peuvent plus. Musique, répétition de danses, voitures « boum boum » ou bagarres font régulièrement l’objet de plaintes et de procédures. Des habitants ont même créé un collectif pour avoir une voix plus forte face à ces nuisances sonores.
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Au quartier Bopp-Dupont à Faa’a, une vingtaine de personnes sont à bout, lassées de ces nuisances sonores qui empoisonnent leurs vies. Certaines familles ont même envisagé de déménager.
Pour dénoncer ce fléau, elles ont décidé de se réunir en collectif libre.
Rebecca Dordillon est membre de ce collectif. « On est pris en sandwich musical la semaine comme le week-end », dénonce-t-elle.
Les textes sont pourtant clairs : il appartient à l’autorité municipale de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer le repos et la tranquillité des administrés.
Mais au vu du nombre d’habitants dans la commune, la mairie a du mal à faire appliquer les règlements votés par arrêté, explique Robert Maker, le premier adjoint au maire de Faa’a.
Pour dénoncer ce fléau, elles ont décidé de se réunir en collectif libre.
Rebecca Dordillon est membre de ce collectif. « On est pris en sandwich musical la semaine comme le week-end », dénonce-t-elle.
« Ça nous donne une cacophonie »
Les textes sont pourtant clairs : il appartient à l’autorité municipale de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer le repos et la tranquillité des administrés.
Mais au vu du nombre d’habitants dans la commune, la mairie a du mal à faire appliquer les règlements votés par arrêté, explique Robert Maker, le premier adjoint au maire de Faa’a.
« C’est un vrai sujet à prendre à bras-le-corps »