L'association Faafaite i te ao maohi, en charge de la promotion de la navigation traditionnelle, anime un séminaire afin de recruter des équipiers pour naviguer sur la pirogue double. Samedi 17 janvier 2018, une trentaine de personnes ont répondu à l'appel.
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Faafaite i te ao maohi, l'association qui fait la promotion de la navigation traditionnelle, veut perpétuer le savoir-faire polynésien. Les manoeuvres ou encore la lecture des étoiles ont disparu au fil du temps, il faut donc réapprendre, étudier et consulter les archives pour acquérir le savoir des anciens.
Pour ce faire, la pirogue double a besoin d'équipiers et recrute, d'où l'idée du séminaire organisé le samedi 17 janvier 2018, par les responsables de l'association.
A ce jour une trentaine de volontaires se sont inscrits sur les listes de l'association pour embarquer sur la grande pirogue à voile. Les futurs marins seront formés aux techniques très particulières de la navigation à bord de Faafaite.
Teiva Veronique, membre de l'association s'exprime au micro de Lorenzo Marama
Au cours du premier trimestre 2019, une traversée pour toutes les pirogue du groupe est prévue, avec pour cap la Nouvelle-Zélande, où l'on fêtera le bi-centenaire de James Cook, mais aussi où l'on rendra hommage au Polynésien Tupaïa, oublié par l'histoire et par le navigateur Anglais.
Pour ce faire, la pirogue double a besoin d'équipiers et recrute, d'où l'idée du séminaire organisé le samedi 17 janvier 2018, par les responsables de l'association.
A ce jour une trentaine de volontaires se sont inscrits sur les listes de l'association pour embarquer sur la grande pirogue à voile. Les futurs marins seront formés aux techniques très particulières de la navigation à bord de Faafaite.
Teiva Veronique, membre de l'association s'exprime au micro de Lorenzo Marama
Au cours du premier trimestre 2019, une traversée pour toutes les pirogue du groupe est prévue, avec pour cap la Nouvelle-Zélande, où l'on fêtera le bi-centenaire de James Cook, mais aussi où l'on rendra hommage au Polynésien Tupaïa, oublié par l'histoire et par le navigateur Anglais.
L’invitée du journal était Josiane Teamotuaitau – présidente de l’association Fa’afaite i te ao ma’ohi
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