La principale région productrice de vanille de Madagascar a été victime en mars dernier du cyclone Enawo.
Le prix de vente des gousses malgaches a depuis lors été multiplié par cinq. La vanille tahitienne aurait pu profiter de cet aléa mais sa production demeure trop faible et son prix de vente trop élevé. Pour s’imposer davantage sur le marché international il faudrait produire deux fois plus qu’aujourd’hui.
Faible production et coût de revient élevé plombent la vanille tahitienne