Depuis le 1er janvier, tous les Français sont considérés comme donneurs d'organes présumés, sauf déclaration contraire. Si le décret de la loi Santé est entré en vigueur en métropole depuis le 1er janvier, cette mesure n’est pas encore applicable en Polynésie française.
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L'objectif principal de cet amendement est de diminuer le nombre de refus de prélèvements. Sujet encore tabou, le don d'organes permet pourtant à 57 000 personnes de continuer à vivre.
C'est le cas de Alexandra, atteinte d'une mucoviscidose. Grâce à une greffe de deux poumons, la jeune femme de 21 ans a vu sa vie s'améliorer nettement. Elle s'est d'ailleurs lancée comme défi de travers Tahiti Moorea à la seule force des bras.
Malheureusement, pas tout le monde a la même chance qu'Alexandra. En 2015, alors que 21 000 patients étaient en attente d'un organe compatible, seules 5.800 ont pu être greffés. C'est pour remédier à ce manque cruel de dons que la loi stipule à présent que tout défunt est automatiquement considéré comme donneur, sauf s'il a préalablement exprimé son désaccord.
Pour s’opposer au prélèvement d’organes, il faudra s’inscrire sur un registre de refus ou bien l’exprimer par écrit, sans quoi le don d’organe pourra être réalisé. C’est une nouveauté et cela, même sans l’accord de la famille.
Si la mesure s'applique dès le 1er janvier en France, elle n’est pas encore applicable en Polynésie française car des textes doivent être créés au niveau territorial.
C'est le cas de Alexandra, atteinte d'une mucoviscidose. Grâce à une greffe de deux poumons, la jeune femme de 21 ans a vu sa vie s'améliorer nettement. Elle s'est d'ailleurs lancée comme défi de travers Tahiti Moorea à la seule force des bras.
Une mesure pas encore applicable au fenua
Malheureusement, pas tout le monde a la même chance qu'Alexandra. En 2015, alors que 21 000 patients étaient en attente d'un organe compatible, seules 5.800 ont pu être greffés. C'est pour remédier à ce manque cruel de dons que la loi stipule à présent que tout défunt est automatiquement considéré comme donneur, sauf s'il a préalablement exprimé son désaccord.
Pour s’opposer au prélèvement d’organes, il faudra s’inscrire sur un registre de refus ou bien l’exprimer par écrit, sans quoi le don d’organe pourra être réalisé. C’est une nouveauté et cela, même sans l’accord de la famille.
Si la mesure s'applique dès le 1er janvier en France, elle n’est pas encore applicable en Polynésie française car des textes doivent être créés au niveau territorial.
les français donneurs d’organes par défaut