Le grand débat national a été lancé par le président de la République en réponse au mouvement des gilets jaunes. Après quelques hésitations, le haut-commissaire indique que les Polynésiens pourront s'exprimer à partir du mardi 22 janvier, sur une plateforme numérique.
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Le grand débat national est une concertation nationale annoncée par Emmanuel Macron. Cette consultation est lancée pour tenter de sortir de la crise des gilets jaunes.
Comme le précise le haut-commissaire, cette démarche inédite offre à chacun la possibilité de s’exprimer sur quatre grands thèmes : la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’État et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté.
Mais la plupart des sujets concernés relèvent des compétences du Pays, qui dispose d’un statut d’autonomie, rappelle René Bidal.
Pour autant, précise le haut-commissaire, "nos concitoyens polynésiens n’ont évidemment pas une parole interdite à l’occasion de ce grand débat national, notamment sur les sujets qui intéressent l’ensemble de la Nation.
Ainsi, il convient de leur préciser, qu’à compter de demain, 22 janvier, une plateforme numérique permettra de recueillir, sur les quatre thématiques précisées plus haut, les contributions de ceux qui voudront s’exprimer. Cette plateforme sera accessible sur le site, ainsi d’ailleurs que via le site Internet du Haut-commissariat."
Les restitutions de ces contributions citoyennes sont attendues fin mars, début avril.
Comme le précise le haut-commissaire, cette démarche inédite offre à chacun la possibilité de s’exprimer sur quatre grands thèmes : la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’État et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté.
Mais la plupart des sujets concernés relèvent des compétences du Pays, qui dispose d’un statut d’autonomie, rappelle René Bidal.
Pour autant, précise le haut-commissaire, "nos concitoyens polynésiens n’ont évidemment pas une parole interdite à l’occasion de ce grand débat national, notamment sur les sujets qui intéressent l’ensemble de la Nation.
Ainsi, il convient de leur préciser, qu’à compter de demain, 22 janvier, une plateforme numérique permettra de recueillir, sur les quatre thématiques précisées plus haut, les contributions de ceux qui voudront s’exprimer. Cette plateforme sera accessible sur le site, ainsi d’ailleurs que via le site Internet du Haut-commissariat."
Les restitutions de ces contributions citoyennes sont attendues fin mars, début avril.