Les marins étaient présents lors de l'ouverture du Nautic à Paris. Une occasion d'officialiser la deuxième édition du Grand Prix Pacifique des Jeux. Une régate en Diam 24 dont la première édition a eu lieu au fenua en novembre dernier et qui a tenu toutes ses promesses.
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Le Nautic a ouvert ses portes à Paris, malgré la crise des "gilets jaunes" qui fait rage en ce moment en Métropole. Ce salon est "le" rendez-vous des marins de France et de Navarre. Impossible donc pour Teva Plichart, skipper polynésien, et Emmanuel Versace, organisateur du Grand Prix Pacifique des Jeux, de ne pas s'y rendre...
"Beaucoup de chose se décident ici, on est en début d'année. Les budgets se créent maintenant", confie Teva Plichart, skipper de Trésors de Tahiti vainqueur de la première édition du Grand prix Pacifique des Jeux. Le salon Nautic est l'occasion pour l'équipe de cette nouvelle course d'officialiser une deuxième édition. Elle sera moins concentrée que la première passant de 6 à 8 jours de régate. "La première édition a convaincu les partenaires (...) On repart sur une année 2 avec des ambitions à la hausse, un programme un peu plus long et plus aéré qui accommode plus les concurrents et les partenaires", explique Emmanuel Versace, organisateur du Grand Prix Pacifique des Jeux.
La première édition fut une réussite tant par la course que la beauté des îles. "C'était une régate extraordinaire. C'est clairement là bas qu'il faut faire du bateau", confie Aurélien Ducroz, co skipper de la Team Mood, qui a été séduit par la beauté du fenua.
"Beaucoup de chose se décident ici, on est en début d'année. Les budgets se créent maintenant", confie Teva Plichart, skipper de Trésors de Tahiti vainqueur de la première édition du Grand prix Pacifique des Jeux. Le salon Nautic est l'occasion pour l'équipe de cette nouvelle course d'officialiser une deuxième édition. Elle sera moins concentrée que la première passant de 6 à 8 jours de régate. "La première édition a convaincu les partenaires (...) On repart sur une année 2 avec des ambitions à la hausse, un programme un peu plus long et plus aéré qui accommode plus les concurrents et les partenaires", explique Emmanuel Versace, organisateur du Grand Prix Pacifique des Jeux.
La première édition fut une réussite tant par la course que la beauté des îles. "C'était une régate extraordinaire. C'est clairement là bas qu'il faut faire du bateau", confie Aurélien Ducroz, co skipper de la Team Mood, qui a été séduit par la beauté du fenua.