Leader d'un mouvement de lutte contre les tarifs et le monopole de l'électricite en Polynésie, Ariitaia Tia'i poursuit depuis six jours une grève de la faim.
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La société Engie continue de susciter la polémique. Depuis deux ans, Ariitaia Tia'i anime le groupe Facebook "Unis pour une électricité juste en Polynésie". Il entend dénoncer « les agissements » d’EDT et surtout les tarifs prohibitifs de l’électricité en Polynésie.
Il y a six jours, Ariitaia Tia'a a décidé d’entamer une grève de la faim pour alerter l’opinion publique. Il a également publié une lettre ouverte à Isabelle Kocher directrice général du groupe Engie dont EDT est la filiale.
Dans ce courrier il explique : "désormais il est de notre devoir de consommateurs, de citoyens, de dénoncer l'attitude insupportable d'Engie en Polynésie et de vous demander des comptes pour avoir pendant des années fait des marges au delà du raisonnable sur le dos des consommateurs Polynésiens".
Il conclut : "Je n'attends qu'une chose madame, (...) que vous reconnaissiez que vous avez fait des marges au delà du raisonnable pendant des décennies et qu'à ce titre vous acceptez de dédommager les consommateurs Polynésiens".
Il y a six jours, Ariitaia Tia'a a décidé d’entamer une grève de la faim pour alerter l’opinion publique. Il a également publié une lettre ouverte à Isabelle Kocher directrice général du groupe Engie dont EDT est la filiale.
"Dédommager les Polynésiens"...
Dans ce courrier il explique : "désormais il est de notre devoir de consommateurs, de citoyens, de dénoncer l'attitude insupportable d'Engie en Polynésie et de vous demander des comptes pour avoir pendant des années fait des marges au delà du raisonnable sur le dos des consommateurs Polynésiens".
Il conclut : "Je n'attends qu'une chose madame, (...) que vous reconnaissiez que vous avez fait des marges au delà du raisonnable pendant des décennies et qu'à ce titre vous acceptez de dédommager les consommateurs Polynésiens".