L'arrivée prochaine des touristes au mois de juillet fait craindre l'augmentation des cas suspects et avérés de Covid-19. Le centre hospitalier du Taaone a déjà imaginé tous les scénarii possibles et s'apprête même au pire.
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Aujourd'hui encore, un point de tri des patients Covid-19 existe aux urgences du centre hospitalier du Taaone. Dans l'éventualité d'une recrudescence du nombre de cas, un deuxième point de tri reprendrait du service. "C'était un tri pour gérer les patients : avoir une filière Covid et non Covid. Et ensuite, gérer la gravité des patients", explique Loïc Durand, chef de service des urgences.
En cas de deuxième vague, le service d’hospitalisation des urgences peut accueillir une douzaine de patients. Chaque chambre serait alors entièrement dédiée aux malades du Covid-19. "C'est une chambre dans laquelle on va rentrer habiller avec le masque FFP2, la visière, la charlotte, la chasuble et les surchaussures", précise Nathalie Lecordier, médecin au sein de l'unité d'hospitalisation à très courte durée.
En s’appuyant sur les expériences des hôpitaux internationaux, et possédant désormais 60 respirateurs, le CHPF pense pouvoir accueillir bien plus de malades atteints du Covid-19 qu'avant le confinement. "On imaginait un plan qui va jusqu'à 120 lits dédiés au Covid voire même 200. A cela, il faut rajouter des lits de réanimation. Là aussi, on a une montée en puissance qu'on a imaginée", souligne Alexis Goubert, directeur qualité et gestion de risque.
En cas de deuxième vague, le service d’hospitalisation des urgences peut accueillir une douzaine de patients. Chaque chambre serait alors entièrement dédiée aux malades du Covid-19. "C'est une chambre dans laquelle on va rentrer habiller avec le masque FFP2, la visière, la charlotte, la chasuble et les surchaussures", précise Nathalie Lecordier, médecin au sein de l'unité d'hospitalisation à très courte durée.
En s’appuyant sur les expériences des hôpitaux internationaux, et possédant désormais 60 respirateurs, le CHPF pense pouvoir accueillir bien plus de malades atteints du Covid-19 qu'avant le confinement. "On imaginait un plan qui va jusqu'à 120 lits dédiés au Covid voire même 200. A cela, il faut rajouter des lits de réanimation. Là aussi, on a une montée en puissance qu'on a imaginée", souligne Alexis Goubert, directeur qualité et gestion de risque.