Il a été l'un des plus grands sportifs et bodybuilders de Polynésie et organise le "Grand Prix Jubilé Igor Léontieff" le 17 mai prochain.
•
Du ciment, quelques tuyaux en fonte, le tour est joué. Igor Léontieff n'a pas besoin de grand chose pour pratiquer sa passion : le bodybuilding. Il a fabriqué ses haltères lui-même, de manière artisanale… À chaque fois qu’il les soulève, c’est un peu comme un retour aux sources…
Il se souvient de ses débuts, dans la salle d’Yves Teiho et surtout, de sa première compétition. "Un beau jour, John Bambridge, qui fut mon professeur de sport à La Mennais m'a poussé et depuis ça a été l'enchaînement des surprises. Il allait organiser le premier "Mister Tahiti" en 1981.
Dans sa salle de sport comme chez lui, les murs font office de CV géant. Des photos, des coupures de journaux des gros titres… Ils retracent 40 années de passion, de compétitions, de victoires et de records.
Ses finales par exemple, en 1983 et 1985 à Monsieur Univers ou son record de France en développé-couché, avec 63 répétitions de 100 kg en 3 minutes seulement… Un exploit qu'il réalise en 1990. Record battu deux mois plus tard, par lui-même, avec un nombre impressionnant de 85 répétitions.
En 2008, il obtient une honorable 15e place au championnat du monde de bodybuilding à Atlantic City dans la catégorie professionnelle… Et ça ne s’arrête pas là... "Quarante années de passion, se remémore-t-il, durant lesquelles j'ai eu la chance de cotoyer de grands champions, en voyageant, en faisant des compétitions et surtout en partageant cette passion avec les jeunes et ceux qui fréquentaient ma salle de sport".
Avec une connaissance presque aussi vieille que sa carrière, Roberto Cowan, issus de la même génération, ils préparent ensemble le gala de vendredi prochain.
La motivation est réciproque… Et l’entraînement poussé à l’extrême… "On ne s'est jamais vraiment quittés, c'était un ami en premier et un partenaire d'entraînement de la race des champions, explique ce dernier. On dit toujours que si l'on veut devenir un champion, il faut s'entraîner avec les champions. C'est ce que j'ai fait."
Lors de cette soirée de gala, Roberto va réaliser une démonstration de gymnastique athlétique. L’occasion de montrer à tous qu’un bodybuilder est un athlète complet et surtout, que l’âge n’est pas un frein à l’épanouissement d’un athlète. Igor et Roberto, totalisent à eux deux 120 ans…
Il se souvient de ses débuts, dans la salle d’Yves Teiho et surtout, de sa première compétition. "Un beau jour, John Bambridge, qui fut mon professeur de sport à La Mennais m'a poussé et depuis ça a été l'enchaînement des surprises. Il allait organiser le premier "Mister Tahiti" en 1981.
Dans sa salle de sport comme chez lui, les murs font office de CV géant. Des photos, des coupures de journaux des gros titres… Ils retracent 40 années de passion, de compétitions, de victoires et de records.
Ses finales par exemple, en 1983 et 1985 à Monsieur Univers ou son record de France en développé-couché, avec 63 répétitions de 100 kg en 3 minutes seulement… Un exploit qu'il réalise en 1990. Record battu deux mois plus tard, par lui-même, avec un nombre impressionnant de 85 répétitions.
En 2008, il obtient une honorable 15e place au championnat du monde de bodybuilding à Atlantic City dans la catégorie professionnelle… Et ça ne s’arrête pas là... "Quarante années de passion, se remémore-t-il, durant lesquelles j'ai eu la chance de cotoyer de grands champions, en voyageant, en faisant des compétitions et surtout en partageant cette passion avec les jeunes et ceux qui fréquentaient ma salle de sport".
Avec une connaissance presque aussi vieille que sa carrière, Roberto Cowan, issus de la même génération, ils préparent ensemble le gala de vendredi prochain.
La motivation est réciproque… Et l’entraînement poussé à l’extrême… "On ne s'est jamais vraiment quittés, c'était un ami en premier et un partenaire d'entraînement de la race des champions, explique ce dernier. On dit toujours que si l'on veut devenir un champion, il faut s'entraîner avec les champions. C'est ce que j'ai fait."
Lors de cette soirée de gala, Roberto va réaliser une démonstration de gymnastique athlétique. L’occasion de montrer à tous qu’un bodybuilder est un athlète complet et surtout, que l’âge n’est pas un frein à l’épanouissement d’un athlète. Igor et Roberto, totalisent à eux deux 120 ans…
Igor Léontieff, une vie consacrée au bodybuilding