Les intempéries du 12 décembre dernier ont laissé derrière elles des milliers de tonnes de déchets et de boue. Dans l'urgence, ces déchets ont été provisoirement jetés le long de la route de Nivee à Papenoo. Aujourd'hui, la commune et le pays cherchent un site afin de s'en débarrasser.
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Troncs d’arbres, tôles, frigos, et beaucoup de boue... Des milliers de tonnes de détritus enchevêtrés jonchent le bord de la route de Nivee, à Papenoo. Deux semaines après les intempéries du 12 décembre, la commune et le pays peinent à trouver un lieu approprié pour stocker les 30.000 mètres cubes de déchets accumulés. D'autant que les dépotoirs de Papenoo sont déjà saturés.
De son côté, Bruno Gérard, le directeur adjoint de l'équipement, a confié qu'une piste était en cours d'étude afin de stocker ces déchets. Il s'agirait d'un terrain privé appartenant au pays, non loin du lieu actuel. Le projet devrait être présenté et discuté lors du conseil des ministres de mercredi. La situation devient urgente, selon l'homme qui s'inquiète de voir des habitants déposer, en plus, leurs déchets ménagers en tous genres.
Chez les sinistrés, les pelleteuses continuent de déblayer les terrains. Dans la propriété de Mano Valentin, il est difficile d'imaginer qu'il y avait encore quelques semaines de l’herbe verte et un jardin à cet endroit. Au début, les résidents ont commencé à nettoyer à la main ce qu’ils pouvaient mais la manoeuvre est devenue plus délicate avec les boues nauséabondes.
De son côté, Bruno Gérard, le directeur adjoint de l'équipement, a confié qu'une piste était en cours d'étude afin de stocker ces déchets. Il s'agirait d'un terrain privé appartenant au pays, non loin du lieu actuel. Le projet devrait être présenté et discuté lors du conseil des ministres de mercredi. La situation devient urgente, selon l'homme qui s'inquiète de voir des habitants déposer, en plus, leurs déchets ménagers en tous genres.
Chez les sinistrés, les pelleteuses continuent de déblayer les terrains. Dans la propriété de Mano Valentin, il est difficile d'imaginer qu'il y avait encore quelques semaines de l’herbe verte et un jardin à cet endroit. Au début, les résidents ont commencé à nettoyer à la main ce qu’ils pouvaient mais la manoeuvre est devenue plus délicate avec les boues nauséabondes.