Le gouvernement décide d’être solidaire : il va cotiser à la CPS. L’annonce a été faite en conseil des ministres, mercredi 7 mars, par le président du Pays. Jacques Raynal, ministre de la santé, estime qu'il est temps de régler ce problème qui ne date pas d'hier.
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L’intersyndicale reprochait au gouvernement de ne pas cotiser à la CPS. C’est peut-être l’une des raisons qui ont poussé Edouard Fritch à émettre ce souhait, mercredi 7 mars. Afin de faire preuve d’exemplarité, face à ses ministres, le président du Pays a fait part de son souhait de faire cotiser également son gouvernement à la CPS. Ce dernier espère également que les élus de Tarahoi suivront le mouvement.
Une question qui n'est pas nouvelle, comme l'explique Jacques Raynal. " Depuis 2010, c'est la troisième ou quatrième fois que nous parlons de ce problème. Il n'a jamais pu être réglé pour des questions de législation", explique le ministre de la santé.
Interrogé, mercredi, lors du conseil des ministres, Jean-Christophe Bouissou confirmait cette annonce et ce souhait du gouvernement : "Nous essayons de répondre à quelque chose que la population essaie de nous communiquer. Nous ne sommes pas froids par rapport à ces appels. Nous avons compris qu'une question d'exemplarité se pose aujourd'hui".
Pour répondre aux questions que vous pouvez vous poser sur la réforme de la PSG et en particulier sur les retraites, le ministère de la Santé et des solidarités lance une campagne de communication audiovisuelle. Une page facebook "Ma retraite Mon Avenir" est également disponible. Ce texte sera étudié justement ce jeudi 8 mars par les élus locaux et certainement adopté puisque la majorité présidentielle compte aujourd’hui 32 membres sur 57.
Une question qui n'est pas nouvelle, comme l'explique Jacques Raynal. " Depuis 2010, c'est la troisième ou quatrième fois que nous parlons de ce problème. Il n'a jamais pu être réglé pour des questions de législation", explique le ministre de la santé.
Interview
Interrogé, mercredi, lors du conseil des ministres, Jean-Christophe Bouissou confirmait cette annonce et ce souhait du gouvernement : "Nous essayons de répondre à quelque chose que la population essaie de nous communiquer. Nous ne sommes pas froids par rapport à ces appels. Nous avons compris qu'une question d'exemplarité se pose aujourd'hui".
Pour répondre aux questions que vous pouvez vous poser sur la réforme de la PSG et en particulier sur les retraites, le ministère de la Santé et des solidarités lance une campagne de communication audiovisuelle. Une page facebook "Ma retraite Mon Avenir" est également disponible. Ce texte sera étudié justement ce jeudi 8 mars par les élus locaux et certainement adopté puisque la majorité présidentielle compte aujourd’hui 32 membres sur 57.