Tout indique que les épreuves de surf auront lieu à Tahiti... C’est une affirmation du journal l’Equipe en sous-titre d’un article consacrée au JO de Paris 2024. Explications.
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Candidat à l'organisation de l'épreuve de surf pour les JO 2024 à Paris, Tahiti semble avoir une longueur d'avance sur la concurrence. L'île polynésienne a de sérieux atouts à faire valoir... "Si le dossier est officiellement en cours d'instruction, tout indique que les épreuves de surf se disputeront dans les eaux polynésiennes". C'est ce que écrit le journal L'Equipe dans son édition de ce vendredi 8 novembre.
Selon les informations du journal sportif, les obstacles liés à la liogistique ou la distance, soit à l'empreinte carbone, tout cela aurait été levé. Certaines sources indiquent même que la décision soit annoncée avant la fin de l'année. Il semblerait que la volonté du comité des organisations des Jeux Olympiques est là tout comme celle de l'Etat. Mais, rien n'est encore fait. Le CIO doit valider sa décision au plus tard au premier semestre 2021. Mais, c'est Tony Estanguet, le président du comité d'organisation, qui aura le dernier mot.
En août dernier, quatre membres du COJO (Comité d'organisation aux JO de Paris 2024) sont venus étudier pendant une semaine la candidature de Tahiti pour l'organisation de l'épreuve olympique de surf. Ils ont visité les spots de Teahupo'o et de Papara, les deux sites proposés par le Pays pour accueillir les épreuves. Si le comité d'organisation semble avoir été conquis, en particulier par la vague mythique de la presqu'île, le président du CIO, Thomas Bach n'est pas du même avis. Il a affirmé en octobre dernier qu'il préférait une option "proche du centre des Jeux", à Paris.
De leur côté, les élus tahitiens n'ont pas caché leur envie que les épreuves se déroulent ici au fenua. Le président Fritch et le vice-président se sont d'ailleurs rendus à Paris pour faire du lobbying. Si la compétition de surf se déorule à Tahiti, cela sera bien-sûr une bonne nouvelle pour le territoire, qui a déjà l'habitude de recevoir le gratin du surf mondial. Teahupo'o accueille la 7e étape du circuit mondial organisé par la WSL. Ce sera quoiqu'il en soit un coup de projecteur pour le fenua, et un bon point pour le tourisme local.
Cinq sites sont en lice pour accueillir la compétition de surf : Hossegor-Seignosse-Capbreton (Landes), Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), la station balnéaire de Lacanau (Gironde), associée à Bordeaux-Métropole, le site breton de La Torche (Finisterre), et l'île polynésienne de Tahiti et son célèbre spot de Teahupoo. Le surf fera son entrée aux JO de Tokyo en 2020. Mais la présence de cette discipline en 2024 aux Jeux de Paris n'est pas encore certaine, en raison de l'éloignement des sites de surf de la capitale. Le CIO doit valider définitivement la présence du surf à ces JO en décembre 2020.
Selon les informations du journal sportif, les obstacles liés à la liogistique ou la distance, soit à l'empreinte carbone, tout cela aurait été levé. Certaines sources indiquent même que la décision soit annoncée avant la fin de l'année. Il semblerait que la volonté du comité des organisations des Jeux Olympiques est là tout comme celle de l'Etat. Mais, rien n'est encore fait. Le CIO doit valider sa décision au plus tard au premier semestre 2021. Mais, c'est Tony Estanguet, le président du comité d'organisation, qui aura le dernier mot.
En août dernier, quatre membres du COJO (Comité d'organisation aux JO de Paris 2024) sont venus étudier pendant une semaine la candidature de Tahiti pour l'organisation de l'épreuve olympique de surf. Ils ont visité les spots de Teahupo'o et de Papara, les deux sites proposés par le Pays pour accueillir les épreuves. Si le comité d'organisation semble avoir été conquis, en particulier par la vague mythique de la presqu'île, le président du CIO, Thomas Bach n'est pas du même avis. Il a affirmé en octobre dernier qu'il préférait une option "proche du centre des Jeux", à Paris.
De leur côté, les élus tahitiens n'ont pas caché leur envie que les épreuves se déroulent ici au fenua. Le président Fritch et le vice-président se sont d'ailleurs rendus à Paris pour faire du lobbying. Si la compétition de surf se déorule à Tahiti, cela sera bien-sûr une bonne nouvelle pour le territoire, qui a déjà l'habitude de recevoir le gratin du surf mondial. Teahupo'o accueille la 7e étape du circuit mondial organisé par la WSL. Ce sera quoiqu'il en soit un coup de projecteur pour le fenua, et un bon point pour le tourisme local.
Cinq sites sont en lice pour accueillir la compétition de surf : Hossegor-Seignosse-Capbreton (Landes), Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), la station balnéaire de Lacanau (Gironde), associée à Bordeaux-Métropole, le site breton de La Torche (Finisterre), et l'île polynésienne de Tahiti et son célèbre spot de Teahupoo. Le surf fera son entrée aux JO de Tokyo en 2020. Mais la présence de cette discipline en 2024 aux Jeux de Paris n'est pas encore certaine, en raison de l'éloignement des sites de surf de la capitale. Le CIO doit valider définitivement la présence du surf à ces JO en décembre 2020.