Dans le cadre de la journée internationale des personnes handicapées, la fédération handisport a organisé une journée en proposant des activités sportives aux personnes handicapées.
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Elle a été proclamée depuis 1992, la journée internationale des personnes handicapées a été mise en place afin de favoriser leur intégration et notamment, l'accès à la vie économique, sociale et politique des personnes handicapées. Un combat toujours d'actualité y compris en Polynésie française. Ce mardi 3 décembre, à Pirae, des personnes handicapées ont pu participer à des activités sportives.
Réunis sur la plage du Taaone, 11 centres d’accueil de personnes en situation de handicap dont pour la première fois, celui de Moorea, étaient réunis pour une course de va'a 6 sur une distance de 500 mètres. Plus qu’impatients de monter sur leur pirogue, l’équipe du centre rima here attend, rame à la main, le signal pour embarquer. Ils concourent par série de 4 équipages, chacun d’eux étant composé de 2 valides et 4 non valides, principalement avec un handicap mental. Il y a 500 mètres de course.
Les accompagnateurs et les personnels encadrant des 11 associations sont très heureux de la tenue de cette journée, car ils estiment que leur cause n’est jamais assez plaidée. "On nous voit car d'habitude on n'entend pas trop parler de nous", confie Hihiura Cheung, aide médico-psychologue au centre Rima Here. Toutes les associations sont d’accord pour dire que cette journée est très attendue mais qu'il faudrait aussi plus de journées comme celles-ci.
Les personnes handicapées ont besoin de plus de reconnaissance et d’inclusion dans la société. Le sport peut y répondre. "Ils ont besoin de se sentir inclus dans notre société (...) Et du coup, cela les revalorise et en eux-mêmes cela leur prouve qu'ils ont des forces physiques malgré leur handicap", explique Isabelle Sachet, ministre des Solidarités.
Réunis sur la plage du Taaone, 11 centres d’accueil de personnes en situation de handicap dont pour la première fois, celui de Moorea, étaient réunis pour une course de va'a 6 sur une distance de 500 mètres. Plus qu’impatients de monter sur leur pirogue, l’équipe du centre rima here attend, rame à la main, le signal pour embarquer. Ils concourent par série de 4 équipages, chacun d’eux étant composé de 2 valides et 4 non valides, principalement avec un handicap mental. Il y a 500 mètres de course.
Les accompagnateurs et les personnels encadrant des 11 associations sont très heureux de la tenue de cette journée, car ils estiment que leur cause n’est jamais assez plaidée. "On nous voit car d'habitude on n'entend pas trop parler de nous", confie Hihiura Cheung, aide médico-psychologue au centre Rima Here. Toutes les associations sont d’accord pour dire que cette journée est très attendue mais qu'il faudrait aussi plus de journées comme celles-ci.
Les personnes handicapées ont besoin de plus de reconnaissance et d’inclusion dans la société. Le sport peut y répondre. "Ils ont besoin de se sentir inclus dans notre société (...) Et du coup, cela les revalorise et en eux-mêmes cela leur prouve qu'ils ont des forces physiques malgré leur handicap", explique Isabelle Sachet, ministre des Solidarités.