Alors qu'en Polynésie, 50 000 cas de chikungunya ont été répertoriés en 3 mois, en Martinique, seulement 200 nouveaux cas ont été enregistrés entre le 15 et le 21 décembre. Le chiffre baisse beaucoup par rapport aux mois précédents. Les spécialistes veulent croire à la fin prochaine de l'épidémie.
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Un an après son apparition en Martinique (décembre 2013) le chikungunya qui a fragilisé et causé la mort de 83 personnes, semble s'éloigner. Seulement 200 nouveaux cas entre le 15 et le 21 décembre 2014, contre 2 000 à 3 000 cas par semaine, lors des mois précédents.
Le nombre de malades est donc en baisse régulière mais lente. "La diminution est une tendance forte et nous allons vers la fin de l'épidémie dans les prochaines semaines", confirme l'ingénieur Alain Blateau.
40% de la population touchée
L'épidémie a touché plus de 140 000 habitants de l'île, soit 40% de la population. Ce chiffre tient compte à la fois des personnes qui ont vu un médecin et ceux qui n'en n'ont pas pris la peine. "Dans ma famille, ma mère mes soeurs et moi-même avons été touchées", déclare une femme, qui semble encore marquée par la maladie.
D'autres en subissent les douloureuses conséquences. "J'ai les suites, je souffre du genou, c'est pourquoi j'ai ma canne", dit un homme qui lui aussi semble encore souffrir. Pour ces phases post chikungunya, une prise en charge spécifique existe.
Le nombre de malades est donc en baisse régulière mais lente. "La diminution est une tendance forte et nous allons vers la fin de l'épidémie dans les prochaines semaines", confirme l'ingénieur Alain Blateau.
40% de la population touchée
L'épidémie a touché plus de 140 000 habitants de l'île, soit 40% de la population. Ce chiffre tient compte à la fois des personnes qui ont vu un médecin et ceux qui n'en n'ont pas pris la peine. "Dans ma famille, ma mère mes soeurs et moi-même avons été touchées", déclare une femme, qui semble encore marquée par la maladie.
D'autres en subissent les douloureuses conséquences. "J'ai les suites, je souffre du genou, c'est pourquoi j'ai ma canne", dit un homme qui lui aussi semble encore souffrir. Pour ces phases post chikungunya, une prise en charge spécifique existe.
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