Plus de peur que de mal cette nuit à la clinique Paofai. Pour éviter que son 2e groupe électrogène ne surchauffe à cause de la panne du premier, la procédure d'évacuation a été déclenchée. Les pompiers de plusieurs communes sont intervenus.
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Branle-bas de combat, hier soir, à Paofai. La clinique a été évacuée en pleine nuit, avec l'aide des pompiers de plusieurs casernes. En cause, un groupe électrogène qui risquait de surchauffer, après que le premier était déjà tombé en panne à 1 heure du matin. En effet, ce 2e groupe était vide, sans aucune goutte de gasoil !
Absent au moment de l’incident, c’est ce matin que les techniciens du service maintenance de la clinique Paofai, se sont aperçus que le groupe électrogène était à sec.
Entretemps, dans la panique, les responsables de la clinique Paofa’i font intervenir rapidement EDT. Electricité de Tahiti installe alors un nouveau groupe électrogène. Une machine, il faut le préciser, alimente principalement les salles d’opération et les salles post-opératoires.
C'est pour toutes ces raisons que cette nuit, sans groupe électrogène fiable, la procédure d'évacuation a dû été ordonnée.
Ecoutez Sergio Bordes, responsable des pompiers de Papeete :
Tout s'est passé quand même dans le calme, même si dès 22 heures, la lumière faisait déjà défaut. Seuls les cas les plus lourds ont été évacués vers les autres établissements de santé.
Il y a eu, finalement, plus de peur que de mal.
Par ailleurs ce matin à 10h30, Edouard Fritch a assisté à l'inauguration de l'hélistation du centre hospitalier de Taaone.
Absent au moment de l’incident, c’est ce matin que les techniciens du service maintenance de la clinique Paofai, se sont aperçus que le groupe électrogène était à sec.
Entretemps, dans la panique, les responsables de la clinique Paofa’i font intervenir rapidement EDT. Electricité de Tahiti installe alors un nouveau groupe électrogène. Une machine, il faut le préciser, alimente principalement les salles d’opération et les salles post-opératoires.
C'est pour toutes ces raisons que cette nuit, sans groupe électrogène fiable, la procédure d'évacuation a dû été ordonnée.
Ecoutez Sergio Bordes, responsable des pompiers de Papeete :
Tout s'est passé quand même dans le calme, même si dès 22 heures, la lumière faisait déjà défaut. Seuls les cas les plus lourds ont été évacués vers les autres établissements de santé.
Il y a eu, finalement, plus de peur que de mal.
Par ailleurs ce matin à 10h30, Edouard Fritch a assisté à l'inauguration de l'hélistation du centre hospitalier de Taaone.