La Polynésie est le pays qui exporte le plus de bénitiers pour aquarium. Après des débuts difficiles liés à des problèmes techniques ou d'accès au foncier pour les fermes, la filière s'organise. Pas facile pour les petits porteurs de projet de se faire une place.
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Michel Pahuatini, qui habite Reao, s'est lancé dans la culture de bénitiers il y a quatre ans après avoir assisté à un forum organisé par la direction des ressources maritimes et minières sur l'atoll de Tatakoto. Après quelques déboires administratifs et financiers, Michel a obtenu un micro-crédit et a pu se lancer.
Aujourd'hui, il exporte ses coquillages à travers le monde. Un bénitier sauvage se vend 250 cfp/pièce, tandis qu'un bénitier de collectage s'achète 300 cfp/pièce. Pour lui, cette stratégie de niche fonctionne plutôt bien.
Seuls deux atolls ouverts possèdent un collectage de bénitiers : Tatakoto et Reao. Leur lagon possède une densité en bénitiers élevée : plusieurs dizaines à plusieurs centaines dans un seul mètre carré.
Aujourd'hui, il exporte ses coquillages à travers le monde. Un bénitier sauvage se vend 250 cfp/pièce, tandis qu'un bénitier de collectage s'achète 300 cfp/pièce. Pour lui, cette stratégie de niche fonctionne plutôt bien.
Seuls deux atolls ouverts possèdent un collectage de bénitiers : Tatakoto et Reao. Leur lagon possède une densité en bénitiers élevée : plusieurs dizaines à plusieurs centaines dans un seul mètre carré.
Les bénitiers polynésiens à la conquête des aquariums du monde entier