Les organisations syndicales du CHPF dénoncent la diminution de la dotation globale de l'hopital de 600 millions cette année.
Selon les organisations syndicales qui signent ce communiqué (Te Rima no te ea affilié à A Tia I Mua, Otahi, SAPH affilié à SAPH affilié à CSIP, SPCHDT affilié à CSTP/FO, SPHPF, Iho Taata Tumu affilié à O Oe To Oe Rima), le gouvernement de la Polynésie française aurait décidé de diminuer le budget du centre hospitalier de la Polynésie française de 600 millions de francs pour l’année 2015.
Depuis l’entrée dans le nouvel hôpital du Taaone en 2010, le financement du budget du CHPF par la caisse de prévoyance sociale a autant diminué que le nombre de patients hospitalisés a augmenté selon les médecins.
L’augmentation imprévue des dépenses exceptionnelles entrainées par les épidémies des virus Zika en 2013 et Chikungunya en 2014 n’aurait pas modérée cette politique de restriction budgétaire.
Le CHPF a dû s’adapter à ces restrictions budgétaires en gelant une partie de ces investissements et en faisant travailler le personnel au-delà des obligations réglementaires.
Les investissements nécessaires au bon fonctionnement du CHPF ne pourront pas être réalisés, ce qui mettrait en péril les capacités de prise en charge des patients au CHPF selon ces professionnels.
Les organisations syndicales représentatives du personnel du CHPF se mobilisent pour dénoncer cette diminution du budget qui aurait été imposée sans aucune concertation, et veulent alerter sur les conséquences préjudiciables à la qualité et à l’offre de soins.
Depuis l’entrée dans le nouvel hôpital du Taaone en 2010, le financement du budget du CHPF par la caisse de prévoyance sociale a autant diminué que le nombre de patients hospitalisés a augmenté selon les médecins.
L’augmentation imprévue des dépenses exceptionnelles entrainées par les épidémies des virus Zika en 2013 et Chikungunya en 2014 n’aurait pas modérée cette politique de restriction budgétaire.
Le CHPF a dû s’adapter à ces restrictions budgétaires en gelant une partie de ces investissements et en faisant travailler le personnel au-delà des obligations réglementaires.
Les investissements nécessaires au bon fonctionnement du CHPF ne pourront pas être réalisés, ce qui mettrait en péril les capacités de prise en charge des patients au CHPF selon ces professionnels.
Les organisations syndicales représentatives du personnel du CHPF se mobilisent pour dénoncer cette diminution du budget qui aurait été imposée sans aucune concertation, et veulent alerter sur les conséquences préjudiciables à la qualité et à l’offre de soins.