Six ans après les débats houleux qui ont laissé des traces autour du mariage pour tous, la religion catholique exprime une fois de plus son désaccord face à la procréation médicalement assistée. Samedi 5 octobre, ils se sont rassemblés à Mahina pour contester.
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Six ans après les débats houleux qui ont laissé des traces autour du mariage pour tous, la religion catholique exprime une fois de plus son désaccord face à la procréation médicalement assistée. Samedi 5 octobre, ils se sont rassemblés à Mahina pour contester des choix éthiques qu'ils ne partagent pas.
Les lois sur la bioéthique doivent être révisées tous les sept ans. Promesse électorale d’Emmanuel Macron la procréation médicale assistée élargie à toutes les femmes en est la mesure phare. En France, les frais médicaux seront pris en charge par la sécurité sociale. En Polynésie, des messages hostiles à cette évolution ont été lus à la messe dans certaines paroisses dimanche dernier mais la mobilisation est encore balbutiante.
Les intervenants ce matin ont constaté en le regrettant que cette loi n’était pas encore entrée dans les préoccupations des Polynésiens. Que beaucoup de jeunes adhéraient à un texte qui selon eux efface la place du père si importante pour la famille, notamment en terme de filiation. Une notion plus marquante encore sur le plan local.
Autorisées dans de nombreux pays européens, la PMA mobilisera t’elle chez nous des opposants au-delà des cercles catholiques. Pour l’instant les appels aux églises protestantes notamment, n’ont semble t’il, pas encore reçu d’écho.
Thierry Stampfler et Pierre Emmanuel Garot nous expliquent cela plus en détails.
Les lois sur la bioéthique doivent être révisées tous les sept ans. Promesse électorale d’Emmanuel Macron la procréation médicale assistée élargie à toutes les femmes en est la mesure phare. En France, les frais médicaux seront pris en charge par la sécurité sociale. En Polynésie, des messages hostiles à cette évolution ont été lus à la messe dans certaines paroisses dimanche dernier mais la mobilisation est encore balbutiante.
Les intervenants ce matin ont constaté en le regrettant que cette loi n’était pas encore entrée dans les préoccupations des Polynésiens. Que beaucoup de jeunes adhéraient à un texte qui selon eux efface la place du père si importante pour la famille, notamment en terme de filiation. Une notion plus marquante encore sur le plan local.
Autorisées dans de nombreux pays européens, la PMA mobilisera t’elle chez nous des opposants au-delà des cercles catholiques. Pour l’instant les appels aux églises protestantes notamment, n’ont semble t’il, pas encore reçu d’écho.
Thierry Stampfler et Pierre Emmanuel Garot nous expliquent cela plus en détails.