19 guides sanitaires, fraîchement formés, vont débuter leurs missions de sensibilisation, lundi 3 août, à Mahina. Ils ont été embauchés par le Pays pour un an. Ils ont décroché un CAE, un contrat d'accès à l'emploi. Les guides sanitaires recevront une indemnité de 100 000 cfp par mois.
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Ce mardi matin, les 19 guides sanitaires étaient en reconnaissance sur plusieurs sites de la commune de Mahina. Durant trois jours, ces guides ont été formés pour sensibiliser la population et les touristes, aux gestes barrières et au port du masque.
Toujours en formation, ces résidents de Mahina sont employés pendant un an en CAE, contrat d'accès à l'emploi. Dutant un an ils parcouront les lieux publics et les entrées des magasins de la commune.
"Certains connaissent, d'autres pas. Je m'adresse plutôt aux Tahitiens car il y en a certains qui ne veulent pas comprendre", explique Jean-Marie Tamati. Ce lundi, les "patrouilleurs" étaient sur la plage de la pointe Vénus. "Ils n'ont pas l'obligation de porter le masque sur le lieu de travail (...) Par contre, ils laissent les touristes dans l'eau, ils ne se mélangent pas avec eux", souligne le conseiller municipal en charge de la santé à Mahina, Poaru Maono.
Conseiller, protéger et rassurer, telles sont donc les missions de ces guides sanitaires s'exprimant en français, tahitien et anglais. Ces guides sanitaires ont des locaux à disposition à la salle Niutoa Christian Helme, pour rédiger les compte-rendus mais aussi pour se restaurer ou encore laver leurs vêtements, en suivant une procédure bien précise.
Les guides sanitaires seront rémunérés 100 000 cfp par mois pour des journées de six heures, du lundi au vendredi. Ces nouveaux "patrouilleurs", qui ont seulement un rôle de sensibilisation, sont reconnaissables grâce à leur tricot bleu.
Toujours en formation, ces résidents de Mahina sont employés pendant un an en CAE, contrat d'accès à l'emploi. Dutant un an ils parcouront les lieux publics et les entrées des magasins de la commune.
"Certains connaissent, d'autres pas. Je m'adresse plutôt aux Tahitiens car il y en a certains qui ne veulent pas comprendre", explique Jean-Marie Tamati. Ce lundi, les "patrouilleurs" étaient sur la plage de la pointe Vénus. "Ils n'ont pas l'obligation de porter le masque sur le lieu de travail (...) Par contre, ils laissent les touristes dans l'eau, ils ne se mélangent pas avec eux", souligne le conseiller municipal en charge de la santé à Mahina, Poaru Maono.
Conseiller, protéger et rassurer, telles sont donc les missions de ces guides sanitaires s'exprimant en français, tahitien et anglais. Ces guides sanitaires ont des locaux à disposition à la salle Niutoa Christian Helme, pour rédiger les compte-rendus mais aussi pour se restaurer ou encore laver leurs vêtements, en suivant une procédure bien précise.
Les guides sanitaires seront rémunérés 100 000 cfp par mois pour des journées de six heures, du lundi au vendredi. Ces nouveaux "patrouilleurs", qui ont seulement un rôle de sensibilisation, sont reconnaissables grâce à leur tricot bleu.