A la suite des manifestations en métropole, les policiers de Tahiti se sont réunis devant le tribunal. Il s'agit pour eux d'exprimer leur soutien aux policiers de l’hexagone mais également de faire part de leurs doléances.
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C’est le syndicat Alliance de la police nationale en Polynésie qui a appelé à cette manifestation.
Mardi 25 octobre 2016, une dizaine de policiers étaient rassemblés devant le tribunal. Le but de cette manifestation: soutenir leurs collègues et dénoncer les points qui rendent l’exercice de leur fonction de plus en plus compliqué.
Si les conditions de travail ne sont pas aussi dures que celles de métropole, de nombreux points sont tout de même selon eux, inacceptables.
Principales revendications, les sanctions prises contre les délinquants qu’ils jugent trop laxistes. Ils demandent alors plus de sévérité de la part des juges. Toujours sur la question des sanctions, ils ne comprennent pas pourquoi l’outrage à magistrat est deux fois plus sanctionné que l’outrage aux policiers.
La question de la légitime défense a également été abordée. Ils la jugent trop restrictive pour les membres de la police. Des membres des forces de l’ordre qui ont bien souvent l’impression que leur travail n’est pas reconnu à leur juste valeur. Autre point, la lourdeur des procédures. Des démarches administratives qui ralentissent les décisions de justice.
Et puis bien sûr cette solidarité vis-à-vis des policiers de métropole qui manifestent depuis le 18 octobre 2016.
Une protestation qui s’est tout de même déroulée dans de bien meilleures conditions que celle de l’hexagone. L’atmosphère était même, en ce début d’après midi, plutôt détendue.
Mardi 25 octobre 2016, une dizaine de policiers étaient rassemblés devant le tribunal. Le but de cette manifestation: soutenir leurs collègues et dénoncer les points qui rendent l’exercice de leur fonction de plus en plus compliqué.
Si les conditions de travail ne sont pas aussi dures que celles de métropole, de nombreux points sont tout de même selon eux, inacceptables.
Principales revendications, les sanctions prises contre les délinquants qu’ils jugent trop laxistes. Ils demandent alors plus de sévérité de la part des juges. Toujours sur la question des sanctions, ils ne comprennent pas pourquoi l’outrage à magistrat est deux fois plus sanctionné que l’outrage aux policiers.
La question de la légitime défense a également été abordée. Ils la jugent trop restrictive pour les membres de la police. Des membres des forces de l’ordre qui ont bien souvent l’impression que leur travail n’est pas reconnu à leur juste valeur. Autre point, la lourdeur des procédures. Des démarches administratives qui ralentissent les décisions de justice.
Et puis bien sûr cette solidarité vis-à-vis des policiers de métropole qui manifestent depuis le 18 octobre 2016.
Une protestation qui s’est tout de même déroulée dans de bien meilleures conditions que celle de l’hexagone. L’atmosphère était même, en ce début d’après midi, plutôt détendue.
Manifestation de policiers du fenua