La tolérance zéro envers les délinquants de la route associée à la baisse des limitations de vitesse sur la plupart des axes routiers semble porter ses fruits. Le nombre d'accidents, de blessés et de tués chute de manière encourageante sur les neuf premiers mois de l'année.
En réponse à l'hécatombe de 2013, année au cours de laquelle 36 personnes ont perdu la vie sur les routes de Polynésie, les services de police et de gendarmerie multiplient les contrôles. Responsables de 60% des accidents mortels, l'alcool et le paka sont tout particulièrement visés.
La dernière opération menée vendredi dernier aux sorties ouest de Papeete a permis de contrôler 500 véhicules et de relever une vingtaine d'infractions en tout genre.
Dissuasifs, ces dispositifs ont pour vocation de maintenir une pression constante sur les délinquants de la route dont le comportement à risque: excès de vitesse, irrespect du code de la route, absence de casque, est responsable de la moitié des accidents mortels en Polynésie française.
Cette politique ouvertement axée vers la répression semble commencer à porter ses fruits et se traduit par une baisse de plus de 40% du nombre d'accidents graves en neuf mois. 125 accidents ont été recensés depuis le début de l'année contre 208 sur les neuf premiers mois de 2012 et 215 du premier janvier au 31 septembre 2013.
Cette tendance se confirme à la lecture du nombre de victimes en diminution de 40% pour les blessés et de 30% pour les tués.
Après un mois de janvier désastreux au cours duquel quatre personnes ont perdu ma vie, la courbe s'est infléchie. Treize usagers de la route ont été tués depuis le début de l'année contre 19 l'an dernier à même époque et 29 un an auparavant de janvier à septembre.
Le nombre de blessés a lui aussi chuté d'une année sur l'autre. En moyenne 26 personnes étaient blessées sur les routes chaque mois en 2012 et en 2013 contre une quinzaine depuis le début de l'année en cours.
Ce sont les jeunes et les conducteurs de deux roues qui paient le plus lourd tribu à la route. 55% des victimes ont moins de 25 ans et 70% des tués circulaient à deux roues.
La dernière opération menée vendredi dernier aux sorties ouest de Papeete a permis de contrôler 500 véhicules et de relever une vingtaine d'infractions en tout genre.
Dissuasifs, ces dispositifs ont pour vocation de maintenir une pression constante sur les délinquants de la route dont le comportement à risque: excès de vitesse, irrespect du code de la route, absence de casque, est responsable de la moitié des accidents mortels en Polynésie française.
Cette politique ouvertement axée vers la répression semble commencer à porter ses fruits et se traduit par une baisse de plus de 40% du nombre d'accidents graves en neuf mois. 125 accidents ont été recensés depuis le début de l'année contre 208 sur les neuf premiers mois de 2012 et 215 du premier janvier au 31 septembre 2013.
Cette tendance se confirme à la lecture du nombre de victimes en diminution de 40% pour les blessés et de 30% pour les tués.
Après un mois de janvier désastreux au cours duquel quatre personnes ont perdu ma vie, la courbe s'est infléchie. Treize usagers de la route ont été tués depuis le début de l'année contre 19 l'an dernier à même époque et 29 un an auparavant de janvier à septembre.
Le nombre de blessés a lui aussi chuté d'une année sur l'autre. En moyenne 26 personnes étaient blessées sur les routes chaque mois en 2012 et en 2013 contre une quinzaine depuis le début de l'année en cours.
Ce sont les jeunes et les conducteurs de deux roues qui paient le plus lourd tribu à la route. 55% des victimes ont moins de 25 ans et 70% des tués circulaient à deux roues.