Nucléaire : le SDIRAF regrette la composition de la délégation polynésienne

La table ronde sur le nucléaire entre l’Etat et la délégation polynésienne "Reko Tika" se tiendra vers la fin du mois à Paris. Une table ronde autour de laquelle aurait bien voulu siéger le SDIRAF, le syndicat des retraités.

L'environnement et la santé, il en sera question lors de la table ronde parisienne, prévue à la fin du mois de juin, sur le  nucléaire entre l’État et la délégation polynésienne "Reko Tika". Une table ronde autour de laquelle aurait bien voulu siéger le SDIRAF, le syndicat des retraités.

Celui-ci dénonce la composition de cette délégation tahitienne et souhaite entre autre la création d’une commission de contrôle non-gouvernementale pour gérer les fonds qui seront versés à la Polynésie française par l’Etat. C'est ce qu'explique son président, Emile Vernier

 

 

 

La délégation sera composée des représentants du Pays et de l’assemblée, sans oublier les parlementaires. Il y a aura aussi les maires de Rikitea et de Hao, certains élus du Conseil économique, social, environnemental et culturel. Des représentants du milieu associatif seront aussi représentés, tels que l’association Moruroa e Tatou, Tamarii Moruroa ou encore l’association 193.

Leur mission : faire la lumière sur ce qui s’est réellement passé lors du CEP, le centre d’expérimentation du Pacifique. Mais aussi et surtout l’accompagnement de l’État pour la réparation des impacts subis par les anciens travailleurs.