Y'a-t'il 20 ou bien 5 marae à Pamatai Hills ? C'est la question qui oppose l'association " Te pu o te ao Maohi" et Raymond Graffe. En toile de fond, se pose la problématique du développement du domaine.
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C’est l’histoire de deux marae dont la restauration a débuté, il y a deux ans. Mais, les existences interrogent. Pour ceux à l’origine de ces édifications, Pamatai Hills abrite le berceau des premiers rois. "Faux" rétorque Raymond graffe, les quatre ou cinq marae qu’il doit restaurer dans la zone, n'ont rien à voir avec la royauté.
Selon lui, tous les marae des alentours seraient des marae ancestraux. Mais pour l’association, Te pu o te ao Maohi, il y a bien plus de marae et certains ont même été bâtis pour des rois de Rapa Nui, de Hawaï et d’autres peuplades océaniennes. Raymond Graffe, lui, s'appuie sur des relevés géologiques réalisés par Paul Niva, en 2008.
Le promoteur de Pāmata’i Hills s’est engagé à restaurer les quatre ou cinq marae recensés, et à les relier par un parcours pédestre. Mais ceux de l’association gêne l’extension de la zone.
Selon lui, tous les marae des alentours seraient des marae ancestraux. Mais pour l’association, Te pu o te ao Maohi, il y a bien plus de marae et certains ont même été bâtis pour des rois de Rapa Nui, de Hawaï et d’autres peuplades océaniennes. Raymond Graffe, lui, s'appuie sur des relevés géologiques réalisés par Paul Niva, en 2008.
Le promoteur de Pāmata’i Hills s’est engagé à restaurer les quatre ou cinq marae recensés, et à les relier par un parcours pédestre. Mais ceux de l’association gêne l’extension de la zone.