Ismaël Tahiata raconte comment s'est déroulé le tournage du reportage sur l'attaque à main armée de Paofai. Une fois l'information vérifiée, la priorité est de protéger les sources.
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Le premier témoignage a été diffusé le 20 août. Ismaël Tahiata et Jacques Damour, JRI (Journaliste Reporter d'Images), ont recueilli le témoignage d'une des victimes d'attaque à main armée, dans la nuit du 15 au 16 août. Vers 1h du matin, sur le parking d'un supermarché de Paofai. Les autorités (DSP et procureur de permanence) ont été contactés par la rédaction, le 20 août, avant la diffusion.
Face à polémique soulevée par cette première diffusion, Ismaël Tahiata a recueilli le témoignage d'un autre témoin, diffusé le 21 août. Ni victime, ni agresseur...Un habitué des lieux qui a vu les braqueurs, avant de se cacher derrière des poubelles.
Le journaliste raconte les précautions prises, afin de protéger ses sources : "Quand l'information est vérifiée, il faut ensuite convaincre les témoins. Le plus important, c'est l'anonymat des témoins, pour ne pas qu'ils aient de problème [...] On a filmé de façon à ce qu'on ne les reconnaisse pas, on a changé leurs voix." Avant de conclure : "En ce qui me concerne, l'enquête continue..."
Face à polémique soulevée par cette première diffusion, Ismaël Tahiata a recueilli le témoignage d'un autre témoin, diffusé le 21 août. Ni victime, ni agresseur...Un habitué des lieux qui a vu les braqueurs, avant de se cacher derrière des poubelles.
Le journaliste raconte les précautions prises, afin de protéger ses sources : "Quand l'information est vérifiée, il faut ensuite convaincre les témoins. Le plus important, c'est l'anonymat des témoins, pour ne pas qu'ils aient de problème [...] On a filmé de façon à ce qu'on ne les reconnaisse pas, on a changé leurs voix." Avant de conclure : "En ce qui me concerne, l'enquête continue..."