Opération « Te matete hotu rau » à Papeete samedi 30 avril. Ce rendez-vous est devenu incontournable depuis son lancement en décembre 2014. Il rassemble la production d’une centaine d’exposants qui s’est constitué un véritable réseau de fidèles clients.
Les habitués du marché du terroir le savent, chaque dernier samedi du mois, il faut se rendre tôt sur le parking de l’ancien hôpital de Mama’o. La veille, le vendredi, les exposants du secteur agricole, de la pêche lagonaire et des activités artisanales y ont installé leurs étals.
Le lendemain, le site est transformé en un marché de plein air. La fraîcheur des fruits, légumes, poissons et autres produits de consommation font la réputation de cette vitrine publique des produits du terroir initiée conjointement par le ministère de l’agriculture, la chambre d’agriculture et de la pêche lagonaire et le service du développement durable.
Ce procédé permet à une centaine de petits producteurs, éleveurs, horticulteurs, pêcheurs, agriculteurs mais aussi artisans de vendre leurs produits directement aux consommateurs sans passer par des intermédiaires.
Le circuit est également un moyen de permettre à ce secteur d’éviter des pertes importantes par la transformation d’un certain nombre de produits comme le précise Yvette Temauri, présidente de l’association des agriculteurs, des pêcheurs et des éleveurs de Polynésie française.
Elle répond à Abinera Tematahotoa.
« Te matete hotu rau » est ouvert jusqu’à 17h, mais selon les organisateurs l’affluence est telle que les produits risquent d’être écoulés avant 13h. Avis donc aux retardataires.
Le lendemain, le site est transformé en un marché de plein air. La fraîcheur des fruits, légumes, poissons et autres produits de consommation font la réputation de cette vitrine publique des produits du terroir initiée conjointement par le ministère de l’agriculture, la chambre d’agriculture et de la pêche lagonaire et le service du développement durable.
Ce procédé permet à une centaine de petits producteurs, éleveurs, horticulteurs, pêcheurs, agriculteurs mais aussi artisans de vendre leurs produits directement aux consommateurs sans passer par des intermédiaires.
Le circuit est également un moyen de permettre à ce secteur d’éviter des pertes importantes par la transformation d’un certain nombre de produits comme le précise Yvette Temauri, présidente de l’association des agriculteurs, des pêcheurs et des éleveurs de Polynésie française.
Elle répond à Abinera Tematahotoa.
te matete hotu Rau