Patrick Moux, le vice-président de Vodafone, était l’invité du JT de la 1ère, lundi soir. Il a notamment réagi à la décision de l’autorité polynésienne de la concurrence concernant les pratiques commerciales de Vini.
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À la suite d’une saisie de Vodafone, Vini s’est récemment fait taper sur les doigts par l’Autorité polynésienne de la concurrence (APC).
Pour l’APC, Vini faisait payer à ses abonnés des communications plus chères vers le concurrent, et avait une politique de fidélisation jugée abusive – d’une manière ou d’une autre, le consommateur ne pouvait pas changer d’opérateur s’il le souhaitait.
Vini a pris des engagements, qu’elle doit mettre en œuvre d’ici trois mois.
Vodafone est-elle satisfaite de cette décision ? Pas tout à fait, indique Patrick Moux, le vice-président de Vodafone, sur le plateau de la 1ère.
Il revient aussi sur l’arrivée possible de Viti sur le marché de la téléphonie mobile, les coupures Internet et l’Internet aux particuliers.
Pour l’APC, Vini faisait payer à ses abonnés des communications plus chères vers le concurrent, et avait une politique de fidélisation jugée abusive – d’une manière ou d’une autre, le consommateur ne pouvait pas changer d’opérateur s’il le souhaitait.
Vini a pris des engagements, qu’elle doit mettre en œuvre d’ici trois mois.
Vodafone est-elle satisfaite de cette décision ? Pas tout à fait, indique Patrick Moux, le vice-président de Vodafone, sur le plateau de la 1ère.
Il revient aussi sur l’arrivée possible de Viti sur le marché de la téléphonie mobile, les coupures Internet et l’Internet aux particuliers.