Les plats cuisinés et les sandwichs vendus à la sauvette dans les entreprises ou sur les chantiers dans le collimateur du ministère de la Santé. Pratiques pour déjeuner sur le pouce, les normes d'hygiène ne sont pas toujours respectées par les vendeurs.
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Au centre d’hygiène et de salubrité publique, 1564 vendeurs ambulants sont venus déclarer une activité de fabrication de produits alimentaires.
Mais 250 seulement sont autorisés à le faire.
Ce qui signifie qu’un grand nombre de consommateurs se nourrissent de produits à base de chair animale, d’origine inconnue, mal préparés, et stockés des heures durant à température ambiante .
Un cocktail explosif qui peut mener à des intoxications alimentaires de masse comme ce fut le cas il y a quelques années dans une école de voile à Arue.
Ecoutez Glenda Mélix, ingénieur sanitaire et responsable du centre d’hygiène :
Certains vendeurs ne peuvent produire l'autorisation en bonne et due forme selon laquelle leurs plats ou sandwichs ont été élaborés dans une cuisine adaptée avec des mains propres.
Le ministère de la Santé, alerté par le service de l’hygiène, demande donc à tous les responsables d’établissements, privés ou publics de fermer leurs portes aux marchants ambulants qui n’ont pas cette autorisation. Ils représentent aussi une concurrence déloyale pour les restaurateurs obligés eux, de s'équiper pour respecter les normes d'hygiène :
Et la crise touche aussi les services publics, puisqu’ils ne sont que 6 inspecteurs de l’hygiène pour surveiller tous les marchands ambulants.
Retrouvez ce reportage ce soir dans notre Ve'a de 18h30 et notre JT de 19h.
Mais 250 seulement sont autorisés à le faire.
Ce qui signifie qu’un grand nombre de consommateurs se nourrissent de produits à base de chair animale, d’origine inconnue, mal préparés, et stockés des heures durant à température ambiante .
Un cocktail explosif qui peut mener à des intoxications alimentaires de masse comme ce fut le cas il y a quelques années dans une école de voile à Arue.
ventes à la sauvette : gare aux bactéries !
Ecoutez Glenda Mélix, ingénieur sanitaire et responsable du centre d’hygiène :
Certains vendeurs ne peuvent produire l'autorisation en bonne et due forme selon laquelle leurs plats ou sandwichs ont été élaborés dans une cuisine adaptée avec des mains propres.
Le ministère de la Santé, alerté par le service de l’hygiène, demande donc à tous les responsables d’établissements, privés ou publics de fermer leurs portes aux marchants ambulants qui n’ont pas cette autorisation. Ils représentent aussi une concurrence déloyale pour les restaurateurs obligés eux, de s'équiper pour respecter les normes d'hygiène :
Et la crise touche aussi les services publics, puisqu’ils ne sont que 6 inspecteurs de l’hygiène pour surveiller tous les marchands ambulants.
Retrouvez ce reportage ce soir dans notre Ve'a de 18h30 et notre JT de 19h.