Une vingtaine de pays, des dizaines de villes et de villages visités... C’est le tour du monde que viennent de terminer Delphine Portas et Yaël Faraire.
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De la Nouvelle-Zélande aux Etats-Unis, en passant par le Cambodge, la Turquie, l’Argentine ou le Mexique, ces deux Polynésiens sont allés jusqu’au bout de leur rêve ! Après plusieurs années d’économie, ils ont pu réunir 1 500 000 Fcfp pour partir autour du monde.
Voir la tour de Pise, monter sur la pyramide du Soleil de Tihuanaco, admirer les plaines de Nazca, flotter sur le Mékong ou encore visiter les temples d’Angkor sont autant d’objectifs qu’ils s’étaient donnés pour ce tour du monde de 11 mois. Mais à peine revenu sur Bora Bora, le jeune couple garde bien sûr les superbes images des paysages traversés, mais surtout un profond sentiment de gratitude. Ce voyage leur a changé la vie..."Quand on a vu des femmes, marcher deux heures pour aller puiser de l’eau, des villageois travailler pendant des jours pour cultiver et obtenir un kilo de riz ou que le travail demandé pour obtenir 100 grammes de poivre est difficile, on se rend compte qu’ici on est privilégié" ont-ils confiés.
Ils ont marché une dizaine de km par jour, ont pris des vélos, des trains des bus collectifs ou encore des tuk-tuks, ont logé chez l’habitant ou dans de petites pensions... Toutes ces expériences les ont rapprochés des personnes croisées sur le chemin. Ils ont partagé leur aventure au fil des jours sur les réseaux sociaux afin que les Polynésiens et ceux qui les ont suivi se rendent compte de cette belle aventure. Une aventure qui a certainement fait d’eux "de meilleures personnes".
Voir la tour de Pise, monter sur la pyramide du Soleil de Tihuanaco, admirer les plaines de Nazca, flotter sur le Mékong ou encore visiter les temples d’Angkor sont autant d’objectifs qu’ils s’étaient donnés pour ce tour du monde de 11 mois. Mais à peine revenu sur Bora Bora, le jeune couple garde bien sûr les superbes images des paysages traversés, mais surtout un profond sentiment de gratitude. Ce voyage leur a changé la vie..."Quand on a vu des femmes, marcher deux heures pour aller puiser de l’eau, des villageois travailler pendant des jours pour cultiver et obtenir un kilo de riz ou que le travail demandé pour obtenir 100 grammes de poivre est difficile, on se rend compte qu’ici on est privilégié" ont-ils confiés.
Ils ont marché une dizaine de km par jour, ont pris des vélos, des trains des bus collectifs ou encore des tuk-tuks, ont logé chez l’habitant ou dans de petites pensions... Toutes ces expériences les ont rapprochés des personnes croisées sur le chemin. Ils ont partagé leur aventure au fil des jours sur les réseaux sociaux afin que les Polynésiens et ceux qui les ont suivi se rendent compte de cette belle aventure. Une aventure qui a certainement fait d’eux "de meilleures personnes".