Des centaines de poissons morts, dans la rivière de la Punaaru, inquiètent les riverains. La direction de l'environnement pointe du doigt la sècheresse, phénomène fréquent durant l'hiver austral.
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Des ina'a surtout, mais aussi quelques poissons plus gros comme des Tilapia et même des puhi...plusieurs centaines de poissons gisent au soleil, à l'embouchure de la rivière Punaruu, à Punaauia.
La sècheresse est mise en cause, par la DIREN : sans pluie importante, les rivières sont à sec. "C'est un problème assez récurrent, d'après les gens qui habitent sur place, explique Claude Serra, ingénieur à la Direction de l'environnement. Il fait beau, il ne pleut pas, il n'y a pas de renouvellement de l'eau, les poissons meurent. Juillet-Août est la période sèche, il y a des mares d'eau stagnante où l'eau n'est pas renouvelée, c'est un phénomène relativement fréquent."
Deuxième phénomène : l’accumulation de gravats depuis plusieurs mois qui empêche l’eau de se renouveler dans la rivière. La faune et la flore épuisent l’oxygène et meurent. Mais l’association Tamarii pointe des pêcheurs a demandé des analyses d’eau : "Ce n'est pas dû à la sécheresse, affirme Paul Pere, président de l'association. Ca arrive que la rivière serve de dépotoir sauvage qui mène jusqu'à l'embouchure. Nous avons déjà vu de l'huile de vidange ou autre, par le passé. Mais nous n'avons jamais identifié de coupable."
Le même phénomène a été observé ce week-end, à l'embouchure du ruisseau de la Pointe Vénus, à Mahina. Pour ce cas précis, là, la DIREN évoque une pollution chimique, dans toutefois avoir pu la prouver.
A Punaauia, une drague a commencé à curer l'embouchure de la Punaruu pour réoxygéner le milieu.
La sècheresse est mise en cause, par la DIREN : sans pluie importante, les rivières sont à sec. "C'est un problème assez récurrent, d'après les gens qui habitent sur place, explique Claude Serra, ingénieur à la Direction de l'environnement. Il fait beau, il ne pleut pas, il n'y a pas de renouvellement de l'eau, les poissons meurent. Juillet-Août est la période sèche, il y a des mares d'eau stagnante où l'eau n'est pas renouvelée, c'est un phénomène relativement fréquent."
Deuxième phénomène : l’accumulation de gravats depuis plusieurs mois qui empêche l’eau de se renouveler dans la rivière. La faune et la flore épuisent l’oxygène et meurent. Mais l’association Tamarii pointe des pêcheurs a demandé des analyses d’eau : "Ce n'est pas dû à la sécheresse, affirme Paul Pere, président de l'association. Ca arrive que la rivière serve de dépotoir sauvage qui mène jusqu'à l'embouchure. Nous avons déjà vu de l'huile de vidange ou autre, par le passé. Mais nous n'avons jamais identifié de coupable."
Le même phénomène a été observé ce week-end, à l'embouchure du ruisseau de la Pointe Vénus, à Mahina. Pour ce cas précis, là, la DIREN évoque une pollution chimique, dans toutefois avoir pu la prouver.
A Punaauia, une drague a commencé à curer l'embouchure de la Punaruu pour réoxygéner le milieu.