Le salon de l'agriculture à ouvert ses portes à Paris. Sur 100 m2, la délégation d’exposants de la chambre d’agriculture et de la pêche lagonaire de Tahiti présente nombre de produits locaux tels que des fleurs, des fruits, du monoï, de la vanille, du rhum, ou encore du vin de Tahiti.
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Le stand « Tahiti et ses richesses » de la Polynésie française, a reçu la visite de Teva Rohfritsch, vice-président de la Polynésie française et de Nicole Bouteau, ministre du tourisme.
« C’est un salon grand public, fréquenté par des milliers de personnes. Une visibilité non seulement pour la destination mais également pour les produits à l’export. Je pense aux marchés de niche avec la vanille, les cosmétiques et une forte présence du rhum. C’est une belle vitrine pour la Polynésie », s’est réjouie Nicole Bouteau.
Le stand ne se limite pas à la seule valorisation de l’agriculture polynésienne mais se veut aussi une promotion de la destination touristique.
« On travaille ensemble effectivement. On est partenaires sur ces événements. Il nous faut de la transversalité, c’est évident. Il nous faut mutualiser nos moyens et renvoyer une image unique de la destination, de la Polynésie », a confirmé la ministre
Des dégustations de produits locaux sont proposées au public chaque jour. Il y en aura 4 000 au total sur toute la durée du salon.
Dix élèves du lycée agricole d’Opunohu de Moorea sont présents cette année à Paris avec quatre de leurs professeurs. Ces jeunes passionnés présentent des confitures réalisées par leurs soins, à base d’ananas-vanille, mangue-vanille et de pamplemousse, au prestigieux Concours Général Agricole (CGA). Nadine Guais, enseignante en agronomie et génie alimentaire, a rappelé le but de leur participation au salon : « Il s’agit de promouvoir ce que nous faisons au lycée, où l’on cultive, l’on transforme et l’on vend. On est venu pour promouvoir la Polynésie. On met en avant les fruits endémiques du Fenua comme l’ananas, la vanille, la mangue unique au monde, et nos recettes. Par exemple on a mélangé l’ananas avec le basilic. On fait aussi une confiture avec la fleur de tiare de Tahiti ». L’idée est aussi de permettre aux lycéens de connaître d’autres univers comme celui de Rungis, le plus grand marché de produits agricoles au monde, qu’ils ont pu visiter en fin de semaine dernière.
D’autres produits vont concourir au Concours Général Agricole cette semaine, comme la bière blonde de la Brasserie de Tahiti, ainsi que sa « Golden Lager », les rhums « Tamure Rhum », Mana’o, du domaine Pari Pari ou encore le rhum Manutea. Enfin, deux producteurs de miel ont été sélectionnés par la Chambre d’agriculture pour le Concours Général Agricole : Ludwig Blanc et sa société Meri Tuams de Rangiroa, et Guillaume Lecoz responsable des ruchers de Moorea.
Des professionnels du monde agricole ont aussi fait le voyage depuis Tahiti. Parmi eux, Heia Teina, agricultrice et maraichère sur quatre hectares à Papara, élue de la Chambre d’agriculture. Elle est sur place avec un message fort : « L’agriculture biologique a toute sa place en Polynésie. Les Polynésiens s’y intéressent de plus en plus et se préoccupent de leur santé. Personnellement je n’utilise pas du tout de produits chimiques. A mes yeux, l’important est de valoriser les matières premières de Polynésie. J’invite les jeunes à se lancer car c’est important pour nos enfants et leur avenir ».
Le Salon International de l’agriculture prendra fin le dimanche 4 mars.
« C’est un salon grand public, fréquenté par des milliers de personnes. Une visibilité non seulement pour la destination mais également pour les produits à l’export. Je pense aux marchés de niche avec la vanille, les cosmétiques et une forte présence du rhum. C’est une belle vitrine pour la Polynésie », s’est réjouie Nicole Bouteau.
Le stand ne se limite pas à la seule valorisation de l’agriculture polynésienne mais se veut aussi une promotion de la destination touristique.
« On travaille ensemble effectivement. On est partenaires sur ces événements. Il nous faut de la transversalité, c’est évident. Il nous faut mutualiser nos moyens et renvoyer une image unique de la destination, de la Polynésie », a confirmé la ministre
Inscriptions au prestigieux Concours Général Agricole
Des dégustations de produits locaux sont proposées au public chaque jour. Il y en aura 4 000 au total sur toute la durée du salon.
Dix élèves du lycée agricole d’Opunohu de Moorea sont présents cette année à Paris avec quatre de leurs professeurs. Ces jeunes passionnés présentent des confitures réalisées par leurs soins, à base d’ananas-vanille, mangue-vanille et de pamplemousse, au prestigieux Concours Général Agricole (CGA). Nadine Guais, enseignante en agronomie et génie alimentaire, a rappelé le but de leur participation au salon : « Il s’agit de promouvoir ce que nous faisons au lycée, où l’on cultive, l’on transforme et l’on vend. On est venu pour promouvoir la Polynésie. On met en avant les fruits endémiques du Fenua comme l’ananas, la vanille, la mangue unique au monde, et nos recettes. Par exemple on a mélangé l’ananas avec le basilic. On fait aussi une confiture avec la fleur de tiare de Tahiti ». L’idée est aussi de permettre aux lycéens de connaître d’autres univers comme celui de Rungis, le plus grand marché de produits agricoles au monde, qu’ils ont pu visiter en fin de semaine dernière.
D’autres produits vont concourir au Concours Général Agricole cette semaine, comme la bière blonde de la Brasserie de Tahiti, ainsi que sa « Golden Lager », les rhums « Tamure Rhum », Mana’o, du domaine Pari Pari ou encore le rhum Manutea. Enfin, deux producteurs de miel ont été sélectionnés par la Chambre d’agriculture pour le Concours Général Agricole : Ludwig Blanc et sa société Meri Tuams de Rangiroa, et Guillaume Lecoz responsable des ruchers de Moorea.
Des professionnels du monde agricole ont aussi fait le voyage depuis Tahiti. Parmi eux, Heia Teina, agricultrice et maraichère sur quatre hectares à Papara, élue de la Chambre d’agriculture. Elle est sur place avec un message fort : « L’agriculture biologique a toute sa place en Polynésie. Les Polynésiens s’y intéressent de plus en plus et se préoccupent de leur santé. Personnellement je n’utilise pas du tout de produits chimiques. A mes yeux, l’important est de valoriser les matières premières de Polynésie. J’invite les jeunes à se lancer car c’est important pour nos enfants et leur avenir ».
Le Salon International de l’agriculture prendra fin le dimanche 4 mars.